Le chef du "commando invisible", ancienne milice alliée au président ivoirien, Alassane Ouattara, a été tué lors d'affrontements avec l'armée ivoirienne mercredi soir, a déclaré à Reuters un porte-parole du ministère de la Défense.
Cette milice a combattu aux côtés des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) pour renverser le président sortant Laurent Gbagbo. Un commandant des FRCI avait indiqué un peu plus tôt que l'offensive lancée contre "le commando invisible" visait à désarmer cette unité.
"Je confirme qu'Ibrahim Coulibaly a été tué lors des affrontements aujourd'hui", a indiqué le capitaine Alla Kouakou Leon.
Une source, proche des efforts de médiation entre Coulibaly et le camp d'Alassane Ouattara, a indiqué que Coulibaly et ses gardes du corps avaient été tués après l'échec des pourparlers.
La mort de Coulibaly pourrait peser sur la réconciliation promise par le nouveau président ivoirien.
Coulibaly, qui avait prêté allégeance la semaine dernière à Ouattara, avait déclaré que ses 5.000 hommes étaient prêts à rejoindre l'armée du pays mais avait demandé à être reçu par le chef de l'Etat.
Connu sous le nom d'"IB", Coulibaly était l'un des initiateurs de la rébellion de 2002-2003.
Cette milice a combattu aux côtés des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) pour renverser le président sortant Laurent Gbagbo. Un commandant des FRCI avait indiqué un peu plus tôt que l'offensive lancée contre "le commando invisible" visait à désarmer cette unité.
"Je confirme qu'Ibrahim Coulibaly a été tué lors des affrontements aujourd'hui", a indiqué le capitaine Alla Kouakou Leon.
Une source, proche des efforts de médiation entre Coulibaly et le camp d'Alassane Ouattara, a indiqué que Coulibaly et ses gardes du corps avaient été tués après l'échec des pourparlers.
La mort de Coulibaly pourrait peser sur la réconciliation promise par le nouveau président ivoirien.
Coulibaly, qui avait prêté allégeance la semaine dernière à Ouattara, avait déclaré que ses 5.000 hommes étaient prêts à rejoindre l'armée du pays mais avait demandé à être reçu par le chef de l'Etat.
Connu sous le nom d'"IB", Coulibaly était l'un des initiateurs de la rébellion de 2002-2003.