La reprise des cours annoncée par le tout nouveau ministre de l’éducation nationale Mme Kandia Camara n’a pu être effective dans le département de Soubré faute d’élève dans les établissements.
Il ressort du point dressé à mi-journée de mardi par le secrétaire général de la direction départementale de l’éducation nationale (Dden) à Soubré, Emmanuel Yoboué Zrowa, que l’administration scolaire à tous les niveaux a répondu favorablement à l’appel du ministère. Il en est de même pour le personnel enseignant qui en majorité s’est présenté sur le lieu de travail. La seule fausse note dans cette reprise, au dire de Yoboué, reste les élèves qui traînent encore les pieds pour regagner les salles de classes, car, seulement le tiers s’est présenté à cette reprise. Néanmoins, a-t-il expliqué des consignes fermes ont été données aux enseignants afin de commencer les cours avec les élèves présents pour favoriser le retour des autres. Signalons que l’arrivée des FRCI le 30 mars dernier à Soubré avait provoqué un exode massif d’élèves vers les villages et campements auprès des parents. Et la situation financière délicate paralyse le retour des élèves.
K. M. Nadège à Soubré
Il ressort du point dressé à mi-journée de mardi par le secrétaire général de la direction départementale de l’éducation nationale (Dden) à Soubré, Emmanuel Yoboué Zrowa, que l’administration scolaire à tous les niveaux a répondu favorablement à l’appel du ministère. Il en est de même pour le personnel enseignant qui en majorité s’est présenté sur le lieu de travail. La seule fausse note dans cette reprise, au dire de Yoboué, reste les élèves qui traînent encore les pieds pour regagner les salles de classes, car, seulement le tiers s’est présenté à cette reprise. Néanmoins, a-t-il expliqué des consignes fermes ont été données aux enseignants afin de commencer les cours avec les élèves présents pour favoriser le retour des autres. Signalons que l’arrivée des FRCI le 30 mars dernier à Soubré avait provoqué un exode massif d’élèves vers les villages et campements auprès des parents. Et la situation financière délicate paralyse le retour des élèves.
K. M. Nadège à Soubré