La Côte d’Ivoire dans un besoin urgent
Les Nations Unies, à travers le coordonnateur humanitaire résident, Ndolamb Ngokwey, font savoir qu’il y a un besoin urgent de renforcer l’aide humanitaire en Côte d’Ivoire. Selon un communiqué de presse du Bureau du coordonnateur-résident, coordonnateur humanitaire, la crise postélectorale est à l’origine de besoins humanitaires énormes pour des milliers de personnes contraintes au déplacement et/ou qui ont perdu des biens importants. La vulnérabilité de ces personnes est aggravée par l’insécurité à certains endroits ainsi que les difficultés d’accès aux services essentiels tels que la santé, l’éducation et l’hygiène.
L’Ugtci plaide pour les salariés du privé
Dans une déclaration publiée mardi, l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (Ugtci) remercie le président de la République pour ses mesures en vue d’un retour à la vie normale. La centrale souhaite que le chef de l’Etat se penche ‘’particulièrement’’ sur la situation des travailleurs du secteur privé sans salaire depuis des mois, tout en envisageant des solutions pour les entreprises pillées.
Hôpitaux : les médicaments sont là
Des pharmaciens français viennent d’offrir plusieurs tonnes de médicaments à la Côte d’Ivoire. Ces médicaments serviront à équiper les centres hospitaliers universitaires de Cocody, Treichville et Yopougon. Ces hôpitaux sont dépourvus de médicaments depuis plusieurs mois, livrant les malades à eux-mêmes. C’est le deuxième don que le pays reçoit depuis la fin de la crise post-électorale.
Des équipes du ministère de l’Education en tournée
Des responsables du ministère de l’Education nationale, dont la directrice de cabinet, Mme Essis Tomé et son adjoint, Koné Raoul ont effectué séparément mardi des tournées dans des établissements primaires et secondaires d’Abidjan pour constater l’effectivité de la réouverture de l’école. Dans les établissements visités, notamment à Cocody, la plupart des enseignants et élèves étaient présents et les cours ont effectivement été tenus. Les responsables de l’Education nationale ont appelé les enseignants et élèves qui traînent encore les pieds à répondre à l’appel du ministère de tutelle.
Les Nations Unies, à travers le coordonnateur humanitaire résident, Ndolamb Ngokwey, font savoir qu’il y a un besoin urgent de renforcer l’aide humanitaire en Côte d’Ivoire. Selon un communiqué de presse du Bureau du coordonnateur-résident, coordonnateur humanitaire, la crise postélectorale est à l’origine de besoins humanitaires énormes pour des milliers de personnes contraintes au déplacement et/ou qui ont perdu des biens importants. La vulnérabilité de ces personnes est aggravée par l’insécurité à certains endroits ainsi que les difficultés d’accès aux services essentiels tels que la santé, l’éducation et l’hygiène.
L’Ugtci plaide pour les salariés du privé
Dans une déclaration publiée mardi, l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (Ugtci) remercie le président de la République pour ses mesures en vue d’un retour à la vie normale. La centrale souhaite que le chef de l’Etat se penche ‘’particulièrement’’ sur la situation des travailleurs du secteur privé sans salaire depuis des mois, tout en envisageant des solutions pour les entreprises pillées.
Hôpitaux : les médicaments sont là
Des pharmaciens français viennent d’offrir plusieurs tonnes de médicaments à la Côte d’Ivoire. Ces médicaments serviront à équiper les centres hospitaliers universitaires de Cocody, Treichville et Yopougon. Ces hôpitaux sont dépourvus de médicaments depuis plusieurs mois, livrant les malades à eux-mêmes. C’est le deuxième don que le pays reçoit depuis la fin de la crise post-électorale.
Des équipes du ministère de l’Education en tournée
Des responsables du ministère de l’Education nationale, dont la directrice de cabinet, Mme Essis Tomé et son adjoint, Koné Raoul ont effectué séparément mardi des tournées dans des établissements primaires et secondaires d’Abidjan pour constater l’effectivité de la réouverture de l’école. Dans les établissements visités, notamment à Cocody, la plupart des enseignants et élèves étaient présents et les cours ont effectivement été tenus. Les responsables de l’Education nationale ont appelé les enseignants et élèves qui traînent encore les pieds à répondre à l’appel du ministère de tutelle.