Ibrahim Coulibaly, surnommé « IB », le chef du « commando invisible », composé de 5000 hommes, a été tué mercredi soir à Abidjan lors d'affrontements avec les Force...
Ibrahim Coulibaly, surnommé « IB », le chef du « commando invisible », composé de 5000 hommes, a été tué mercredi soir à Abidjan lors d'affrontements avec les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), qui tentent de nettoyer la capitale économique des miliciens. « IB était une menace pour le Premier ministre Guillaume Soro et pour Ouattara car il tenait le quartier d'Abobo », explique Michel Galy, spécialiste de la Côte d'Ivoire, qui estime que la guerre des chefs n'est pas finie. IB avait prêté allégeance au président ivoirien la semaine dernière. Une source proche des efforts de médiation a indiqué que IB et ses gardes du corps ont été tués après l'échec des pourparlers. Ibrahim Coulibaly était l'un des initiateurs de la rébellion de 2002. Après l'arrestation de Laurent Gbagbo le 11 avril dernier, IB réclamait une place importante, fort du rôle clé qu'ont joué ses hommes dans la bataille d'Abidjan.
Ibrahim Coulibaly, surnommé « IB », le chef du « commando invisible », composé de 5000 hommes, a été tué mercredi soir à Abidjan lors d'affrontements avec les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), qui tentent de nettoyer la capitale économique des miliciens. « IB était une menace pour le Premier ministre Guillaume Soro et pour Ouattara car il tenait le quartier d'Abobo », explique Michel Galy, spécialiste de la Côte d'Ivoire, qui estime que la guerre des chefs n'est pas finie. IB avait prêté allégeance au président ivoirien la semaine dernière. Une source proche des efforts de médiation a indiqué que IB et ses gardes du corps ont été tués après l'échec des pourparlers. Ibrahim Coulibaly était l'un des initiateurs de la rébellion de 2002. Après l'arrestation de Laurent Gbagbo le 11 avril dernier, IB réclamait une place importante, fort du rôle clé qu'ont joué ses hommes dans la bataille d'Abidjan.