La Côte d’Ivoire aborde un nouveau virage de son développement socio-économique sous l’ère du Président Alassane Ouattara. Naturellement. Il y a un challenge à relever de part et d’autre, et par tous.
«Ensemble, nous pouvons construire une Nation forte, une grande Nation(…) », dixit le président Alassane Ouattara dans son adresse à la Nation le lendemain de sa prise du pouvoir. Il faut en déduire qu’un Etat fort se construit avec des hommes forts, d’où la nécessité impérieuse que les Ivoiriens répondent à l’appel du Président de la République par leur implication à la relance économique grâce au travail. Il est alors impérieux nécessite alors que les vertus professionnelles soient dorénavant de mise. Que chacun ait la conscience professionnelle d’accomplir son métier avec courage et ponctualité(…), d’avoir le sens de la responsabilité. Il n’y a pas de sot métier. Le travail est plus que nécessaire, il assure la satisfaction de nos besoins, notre indépendance et le progrès de la civilisation. Le travail nous rend habile et moralement meilleur. C’est pourquoi l’on doit le faire dans l’application, l’exactitude, l’esprit d’équipe et dans la solidarité. Tout cela chapeauté par le civisme, c’est à dire dans l’esprit de l’ensemble des règles de conduite que nous devons avoir vis-à-vis de notre pays en tant que citoyen, qui respecte les lois et les Institutions, pratique ses devoirs et met l’intérêt général au dessus de l’intérêt particulier.
Ce que le peuple attend du Pouvoir
Bien sûr l’on serait en droit de poser la question de savoir quel sera le devoir du nouveau Pouvoir exécutif envers les Ivoiriens pour la relance effective de l’économie tant affectée par la crise de plusieurs années ? Disons que l’Etat et les citoyens ont le devoir réciproque dans l’accomplissement du développement socio-économique du pays. Cependant, après certaines définitions des citoyens énumérés tantôt, il faut savoir que l’Etat a des prérogatives (à l’endroit des populations) gage de tout développement socioéconomique, qui sont entre autres; la sécurité, la santé, l’instruction, le travail etc. A ce sujet, nul doute que pour avoir été sollicité par les Ivoiriens à travers le vote présidentiel du 28 novembre 2010, pour la relance et la stabilité économique, le Président Alassane Ouattara qui a permis de faire sortir de l’ornière la Côte d’Ivoire, en sa qualité de président du Comité Interministériel de coordination du Programme de Stabilité et de relance économique, ne saura faillir à l’attente de ses concitoyens avec lesquels il entend construire une Nation grande et prospère. Une Nation de vraie démocratie, à l’image de celle de feu Félix Houphouët-Boigny. Mais cela n’est possible qu’avec des sacrifices réciproques des Ivoiriens et de l’Etat.
TIA GRAHOUA NESTOR
«Ensemble, nous pouvons construire une Nation forte, une grande Nation(…) », dixit le président Alassane Ouattara dans son adresse à la Nation le lendemain de sa prise du pouvoir. Il faut en déduire qu’un Etat fort se construit avec des hommes forts, d’où la nécessité impérieuse que les Ivoiriens répondent à l’appel du Président de la République par leur implication à la relance économique grâce au travail. Il est alors impérieux nécessite alors que les vertus professionnelles soient dorénavant de mise. Que chacun ait la conscience professionnelle d’accomplir son métier avec courage et ponctualité(…), d’avoir le sens de la responsabilité. Il n’y a pas de sot métier. Le travail est plus que nécessaire, il assure la satisfaction de nos besoins, notre indépendance et le progrès de la civilisation. Le travail nous rend habile et moralement meilleur. C’est pourquoi l’on doit le faire dans l’application, l’exactitude, l’esprit d’équipe et dans la solidarité. Tout cela chapeauté par le civisme, c’est à dire dans l’esprit de l’ensemble des règles de conduite que nous devons avoir vis-à-vis de notre pays en tant que citoyen, qui respecte les lois et les Institutions, pratique ses devoirs et met l’intérêt général au dessus de l’intérêt particulier.
Ce que le peuple attend du Pouvoir
Bien sûr l’on serait en droit de poser la question de savoir quel sera le devoir du nouveau Pouvoir exécutif envers les Ivoiriens pour la relance effective de l’économie tant affectée par la crise de plusieurs années ? Disons que l’Etat et les citoyens ont le devoir réciproque dans l’accomplissement du développement socio-économique du pays. Cependant, après certaines définitions des citoyens énumérés tantôt, il faut savoir que l’Etat a des prérogatives (à l’endroit des populations) gage de tout développement socioéconomique, qui sont entre autres; la sécurité, la santé, l’instruction, le travail etc. A ce sujet, nul doute que pour avoir été sollicité par les Ivoiriens à travers le vote présidentiel du 28 novembre 2010, pour la relance et la stabilité économique, le Président Alassane Ouattara qui a permis de faire sortir de l’ornière la Côte d’Ivoire, en sa qualité de président du Comité Interministériel de coordination du Programme de Stabilité et de relance économique, ne saura faillir à l’attente de ses concitoyens avec lesquels il entend construire une Nation grande et prospère. Une Nation de vraie démocratie, à l’image de celle de feu Félix Houphouët-Boigny. Mais cela n’est possible qu’avec des sacrifices réciproques des Ivoiriens et de l’Etat.
TIA GRAHOUA NESTOR
