« Voilà qu'après quelques jours de la fin de la crise, nous voilà à la célébration de la liberté de la presse. Une journée pas comme les autres, j'espère qu'elle sera suivie et que les journalistes auront compris le message. Car, je crois que nul ne s'amusera avec la guerre en Côte d'Ivoire. La Côte d'Ivoire a été suffisamment éprouvée pour qu'on puisse s'amuser avec des termes qui engendrent ou qui incitent avec la violence. »
Par MK
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