Hommage à toi, Nzueba!
Tu es ce rameau de paix qui ne flétrit jamais.
On te disait énigmatique, on t’appelait le sphinx de Daoukro.
Ton humilité a fait de toi, l’homme populaire le moins connu
Car, papa Bédié, au mépris de ton ego, tu as, depuis toujours,
Placé l’homme ivoirien au centre de ta vie.
Du destin, tu as connu les fastes, les délices sans jamais t’en enivrer
Et quand l’orage de 99 est venu, tu as su, sans tambours battant,
Disparaître dans la brume du brouhaha ingrat.
De 2002, date des déboires, à 2011, date de la délivrance,
Passant par Accra, Pretoria et Ouaga, tu as été de tous les combats
En défense de la mère patrie bien-aimée.
Hommage à toi, Bédié, notre Elder !
Malgré ta pudeur, caractéristique culturelle des tiens,
Tu as été, sans relâche, à la tâche, découvrant ainsi ta vraie nature
D’homme de paix, de dialogue inlassable et de réconciliation.
Quand le tonnerre grondait sur le toit de notre maison commune,
Tu as préféré t’effacer afin d’apaiser les cœurs, en choisissant,
Contrairement à d’autres, de sauver ton peuple
Plutôt que de protéger ce trône acquis de haute lutte.
Jamais de ta retraite, tel De Gaulle en Irlande, tu n’osas prononcer
Le moindre mot, au risque de férir davantage ton peuple souffrant.
Fidèle à toi-même, tu n’émis aucune protestation,
Lorsqu’une fois de plus, le sort s’abattit sur toi en 2000,
Quand l’arbitraire des régnants te barra la course à la présidence
Alors que ton peuple te réclamait tant.
Et pourtant, Nzueba bien-aimé, ton retour au pays, deux ans
Plus tard, dans le cadre de la réconciliation nationale préconisée,
Fut un triomphe populaire, une réhabilitation,
Signifiant aux yeux de tous les intrigants du gotha politique
Des jours d’après orage, que jamais le peuple ne te tourna le dos.
Malgré les mystifications des conteurs d’histoires,
Toujours égal à toi-même, tu as accepté de vivre et de te mettre
Au service de ton peuple en l’assistant de tes conseils sages.
Mieux, et au nom du père, tu as décidé de te réconcilier à jamais
Avec ton jeune frère, Alassane Ouattara, afin que l’espoir renaisse
Dans la Côte d’Ivoire martyrisée par les jouisseurs insouciants.
Que c’est beau de travailler aux côtés de cet Elder ivoirien que tu es !
Ultime sacrifice de ta longue et exemplaire carrière,
Bien qu’injustement écarté de l’élection présidentielle
Dès le premier tour au grand désarroi de tes nombreux militants,
Tu as, une fois de plus, décidé de servir la juste cause
En invitant les militants du parti dont tu es le président,
A se mobiliser autour de ton frère Alassane Ouattara.
Mieux, oh grand Bédié, bien-aimé Henri,
Contre les foudres du révélé Jupiter Koudou, tu as entouré de ta grande sagesse,
Ton jeune frère Alassane Ouattara, le digne représentant du RHDP,
En acceptant de vivre avec lui le sort des reclus du Golf,
Passage obligé de délivrance du peuple martyrisé par la refondation.
Et ton jeune frère, Alassane Ouattara, toujours fidèle à ses engagements,
Te le rend si bien, au grand bonheur des tiens.
Bon anniversaire Nzueba, l’Elder incontournable de la terre de nos ancêtres.
Que l’Eternel te protège afin que ta sagesse
Illumine pour toujours notre beau pays.
Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani
Député à l’Assemblée nationale
Tu es ce rameau de paix qui ne flétrit jamais.
On te disait énigmatique, on t’appelait le sphinx de Daoukro.
Ton humilité a fait de toi, l’homme populaire le moins connu
Car, papa Bédié, au mépris de ton ego, tu as, depuis toujours,
Placé l’homme ivoirien au centre de ta vie.
Du destin, tu as connu les fastes, les délices sans jamais t’en enivrer
Et quand l’orage de 99 est venu, tu as su, sans tambours battant,
Disparaître dans la brume du brouhaha ingrat.
De 2002, date des déboires, à 2011, date de la délivrance,
Passant par Accra, Pretoria et Ouaga, tu as été de tous les combats
En défense de la mère patrie bien-aimée.
Hommage à toi, Bédié, notre Elder !
Malgré ta pudeur, caractéristique culturelle des tiens,
Tu as été, sans relâche, à la tâche, découvrant ainsi ta vraie nature
D’homme de paix, de dialogue inlassable et de réconciliation.
Quand le tonnerre grondait sur le toit de notre maison commune,
Tu as préféré t’effacer afin d’apaiser les cœurs, en choisissant,
Contrairement à d’autres, de sauver ton peuple
Plutôt que de protéger ce trône acquis de haute lutte.
Jamais de ta retraite, tel De Gaulle en Irlande, tu n’osas prononcer
Le moindre mot, au risque de férir davantage ton peuple souffrant.
Fidèle à toi-même, tu n’émis aucune protestation,
Lorsqu’une fois de plus, le sort s’abattit sur toi en 2000,
Quand l’arbitraire des régnants te barra la course à la présidence
Alors que ton peuple te réclamait tant.
Et pourtant, Nzueba bien-aimé, ton retour au pays, deux ans
Plus tard, dans le cadre de la réconciliation nationale préconisée,
Fut un triomphe populaire, une réhabilitation,
Signifiant aux yeux de tous les intrigants du gotha politique
Des jours d’après orage, que jamais le peuple ne te tourna le dos.
Malgré les mystifications des conteurs d’histoires,
Toujours égal à toi-même, tu as accepté de vivre et de te mettre
Au service de ton peuple en l’assistant de tes conseils sages.
Mieux, et au nom du père, tu as décidé de te réconcilier à jamais
Avec ton jeune frère, Alassane Ouattara, afin que l’espoir renaisse
Dans la Côte d’Ivoire martyrisée par les jouisseurs insouciants.
Que c’est beau de travailler aux côtés de cet Elder ivoirien que tu es !
Ultime sacrifice de ta longue et exemplaire carrière,
Bien qu’injustement écarté de l’élection présidentielle
Dès le premier tour au grand désarroi de tes nombreux militants,
Tu as, une fois de plus, décidé de servir la juste cause
En invitant les militants du parti dont tu es le président,
A se mobiliser autour de ton frère Alassane Ouattara.
Mieux, oh grand Bédié, bien-aimé Henri,
Contre les foudres du révélé Jupiter Koudou, tu as entouré de ta grande sagesse,
Ton jeune frère Alassane Ouattara, le digne représentant du RHDP,
En acceptant de vivre avec lui le sort des reclus du Golf,
Passage obligé de délivrance du peuple martyrisé par la refondation.
Et ton jeune frère, Alassane Ouattara, toujours fidèle à ses engagements,
Te le rend si bien, au grand bonheur des tiens.
Bon anniversaire Nzueba, l’Elder incontournable de la terre de nos ancêtres.
Que l’Eternel te protège afin que ta sagesse
Illumine pour toujours notre beau pays.
Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani
Député à l’Assemblée nationale