Le président de la Confédération africaine de football, Issa Hayatou, et Jacques Anouma, celui de la Fédération ivoirienne de football sont dans de sales draps.
La FIFA a fait l’objet, hier, de nouvelles accusations de corruption devant une commission d’enquête parlementaire britannique, à propos des conditions d’attribution fin 2010 des Coupes du monde 2018 et 2022. «L’enquête du Sunday Times, que nous publierons plus tard, affirme que 1,5 million de dollars a été payé aux membres du comité exécutif de la FIFA Issa Hayatou et Jacques Anouma, qui ont voté pour le Qatar», a indiqué Damian Collins, un député britannique. De plus, l’ex-président démissionnaire du comité de candidature anglaise pour le Mondial 2018, Lord David Triesman, a mis en cause devant la commission d’enquête des membres de la FIFA, les accusant de comportements «incorrects et non éthiques». Si l’enquête du journal anglais était avérée, cela porterait le total à huit (sur 24) membres du comité exécutif à être impliqués dans des affaires de corruption en rapport avec les Coupes du monde 2018 et 2022. Jack Warner, l’influent président de la Concacaf (Amérique du Nord et centrale) ainsi que le président de la fédération sud-américaine (Conmebol), le Paraguayen Nicolas Leoz, celui de la Fédération brésilienne Ricardo Teixeira et celui de la Fédération thaïlandaise Worawi Makudi seraient également impliqués. Joseph Blatter se montre, quant à lui, catégorique sur le sujet : “Mais il faut attendre de voir les preuves. Nous réagirons immédiatement contre ceux qui auront enfreint les règles éthiques. Si c’est vrai, je me battrai contre cela. Je me bats pour la FIFA”. L’Angleterre, candidate à l’organisation du Mondial 2018, a été éliminée dès le premier tour du scrutin.
Avec AFP
La FIFA a fait l’objet, hier, de nouvelles accusations de corruption devant une commission d’enquête parlementaire britannique, à propos des conditions d’attribution fin 2010 des Coupes du monde 2018 et 2022. «L’enquête du Sunday Times, que nous publierons plus tard, affirme que 1,5 million de dollars a été payé aux membres du comité exécutif de la FIFA Issa Hayatou et Jacques Anouma, qui ont voté pour le Qatar», a indiqué Damian Collins, un député britannique. De plus, l’ex-président démissionnaire du comité de candidature anglaise pour le Mondial 2018, Lord David Triesman, a mis en cause devant la commission d’enquête des membres de la FIFA, les accusant de comportements «incorrects et non éthiques». Si l’enquête du journal anglais était avérée, cela porterait le total à huit (sur 24) membres du comité exécutif à être impliqués dans des affaires de corruption en rapport avec les Coupes du monde 2018 et 2022. Jack Warner, l’influent président de la Concacaf (Amérique du Nord et centrale) ainsi que le président de la fédération sud-américaine (Conmebol), le Paraguayen Nicolas Leoz, celui de la Fédération brésilienne Ricardo Teixeira et celui de la Fédération thaïlandaise Worawi Makudi seraient également impliqués. Joseph Blatter se montre, quant à lui, catégorique sur le sujet : “Mais il faut attendre de voir les preuves. Nous réagirons immédiatement contre ceux qui auront enfreint les règles éthiques. Si c’est vrai, je me battrai contre cela. Je me bats pour la FIFA”. L’Angleterre, candidate à l’organisation du Mondial 2018, a été éliminée dès le premier tour du scrutin.
Avec AFP
