Après cinq jours de combats meurtriers, les forces républicaines de côte d`ivoire (FRCI) ont réussi mettre hors d`état de nuire de nombreuse mercenaires et miliciens pro-Gbagbo quand les plus chanceuses sont en fuite vers la forêt de TAÏ non loin de la frontière avec le Liberia.
Tout a commencé le samedi 7 Mai dernier quand les mercenaires libériens et miliciens traqués à FRESCO et à SASSANDRA se sont repliés dans la sous-préfecture d`OKROUYO. Sur leur passage, ces chiens de guerres se sont livrés à des atrocités inimaginables. Les populations civiles ont toutes fui les villages et campements et trouvé refuge à Soubré. Les hommes du capitaine Koné Dotia réagissent aussitôt. Mais face à la détermination des mercenaires et miliciens, les FRCI basés à OKROUYO reçoivent des renforts de SOUBRE. Durant deux jours ils se livrent une bataille sans merci dans la forêt. Mais la mission des FRCI a été rendue plus difficile avec les soutiens dont bénéficiaient les mercenaires appuyés par les miliciens. Il à donc fallu envoyer des renforts d`Abidjan, de Daloa et de San-Pedro pour permettre aux FRCI de prendre le dessus. Le bilan à ce stade est lourd ; des milliers de déplacés, des villages et campements incendiés par les mercenaires, des exécutions sommaires. Mais contre toute attente, une colonne de mercenaires et miliciens en fuite à OKROUYO attaque la ville de MEAGUI le vendredi 13 Mai 2011 à 4heures du matin. Au moins 6 personnes tuées, de nombreux blésées et d`importants dégâts matériels. Les forces républicaines réagissent et s`est aux environs de 9 heures le lendemain que les combats cessent. Bilan 15 mercenaires tués, au moins une trentaine de prisonniers et de nombreuses arrestations au cours des opérations de ratissage. Cette opération se poursuit pour débusquer les derniers combattants qui se sont fondu dans la forêt, a précisé le capitaine Koné Dotia. Il a indiqué que de nombreux postes de surveillance ont été installés. Les déplacés peuvent retourner chez eux. Les rescapés des combats de MEAGUI sont en fuite dans la forêt de TAÏ située non loin de la frontière du Liberia. Il faut déplorer le comportement de certains habitants qui ont soutenu les Libériens contre leurs frères Ivoiriens.
Devaga. S correspondant à Soubré
Tout a commencé le samedi 7 Mai dernier quand les mercenaires libériens et miliciens traqués à FRESCO et à SASSANDRA se sont repliés dans la sous-préfecture d`OKROUYO. Sur leur passage, ces chiens de guerres se sont livrés à des atrocités inimaginables. Les populations civiles ont toutes fui les villages et campements et trouvé refuge à Soubré. Les hommes du capitaine Koné Dotia réagissent aussitôt. Mais face à la détermination des mercenaires et miliciens, les FRCI basés à OKROUYO reçoivent des renforts de SOUBRE. Durant deux jours ils se livrent une bataille sans merci dans la forêt. Mais la mission des FRCI a été rendue plus difficile avec les soutiens dont bénéficiaient les mercenaires appuyés par les miliciens. Il à donc fallu envoyer des renforts d`Abidjan, de Daloa et de San-Pedro pour permettre aux FRCI de prendre le dessus. Le bilan à ce stade est lourd ; des milliers de déplacés, des villages et campements incendiés par les mercenaires, des exécutions sommaires. Mais contre toute attente, une colonne de mercenaires et miliciens en fuite à OKROUYO attaque la ville de MEAGUI le vendredi 13 Mai 2011 à 4heures du matin. Au moins 6 personnes tuées, de nombreux blésées et d`importants dégâts matériels. Les forces républicaines réagissent et s`est aux environs de 9 heures le lendemain que les combats cessent. Bilan 15 mercenaires tués, au moins une trentaine de prisonniers et de nombreuses arrestations au cours des opérations de ratissage. Cette opération se poursuit pour débusquer les derniers combattants qui se sont fondu dans la forêt, a précisé le capitaine Koné Dotia. Il a indiqué que de nombreux postes de surveillance ont été installés. Les déplacés peuvent retourner chez eux. Les rescapés des combats de MEAGUI sont en fuite dans la forêt de TAÏ située non loin de la frontière du Liberia. Il faut déplorer le comportement de certains habitants qui ont soutenu les Libériens contre leurs frères Ivoiriens.
Devaga. S correspondant à Soubré