Docteur Fatoumata Traoré-Diop, secrétaire nationale à la solidarité et aux victimes de guerre, a animé, le mardi 17 mai à l’Hôtel Ivotel du Plateau, une conférence sur le thème : « Indemnisation, solidarité, réconciliation : quelles combinaisons pour un apaisement social durable ? ».
En présence d’un parterre de journalistes de la presse en ligne et la presse en général, la secrétaire nationale à la solidarité et aux victimes de guerre, a présenté les acquis et les missions de sa structure tout en mettant un point d’honneur sur ses perspectives. «Actualiser les projets d’ordonnance en prenant en compte les victimes de la crise postélectorale, procéder à une opération d’identification des victimes de guerre en Côte d’Ivoire, quantifier chaque catégorie de préjudices et démarrer les phases de réparation, sont entre autres les chantiers qu’elle entend mettre à exécution. Pour réussir sa tâche, Dr Fatoumata Traoré veut se donner tous les moyens. Aussi a-t-elle demandé de faire en sorte que l’opération d’identification des victimes de guerre ne soit pas politisée. Pour elle, l’argent n’est pas le plus important. « La compensation financière ou matérielle ne suffit pas. Mais le niveau symbolique reste essentiel», a-t-elle relevé. Ce qui permettra de donner un sentiment de reconnaissance et de renforcer la confiance civique chez la victime. Tout en encourageant les structures à faire recenser leurs victimes, Dr Fatoumata Traoré-Diop refuse tout amalgame entre sa structure et celle de la commission dialogue-vérité-réconciliation. Pour terminer, elle a remercié le REPPRELCI (Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire) et son président, Barthélémy Kouamé, pour cette initiative.
A Dedi
En présence d’un parterre de journalistes de la presse en ligne et la presse en général, la secrétaire nationale à la solidarité et aux victimes de guerre, a présenté les acquis et les missions de sa structure tout en mettant un point d’honneur sur ses perspectives. «Actualiser les projets d’ordonnance en prenant en compte les victimes de la crise postélectorale, procéder à une opération d’identification des victimes de guerre en Côte d’Ivoire, quantifier chaque catégorie de préjudices et démarrer les phases de réparation, sont entre autres les chantiers qu’elle entend mettre à exécution. Pour réussir sa tâche, Dr Fatoumata Traoré veut se donner tous les moyens. Aussi a-t-elle demandé de faire en sorte que l’opération d’identification des victimes de guerre ne soit pas politisée. Pour elle, l’argent n’est pas le plus important. « La compensation financière ou matérielle ne suffit pas. Mais le niveau symbolique reste essentiel», a-t-elle relevé. Ce qui permettra de donner un sentiment de reconnaissance et de renforcer la confiance civique chez la victime. Tout en encourageant les structures à faire recenser leurs victimes, Dr Fatoumata Traoré-Diop refuse tout amalgame entre sa structure et celle de la commission dialogue-vérité-réconciliation. Pour terminer, elle a remercié le REPPRELCI (Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire) et son président, Barthélémy Kouamé, pour cette initiative.
A Dedi