L.P : Vous venez de rencontrer le premier ministre, peut-on savoir ce dont il a été question à l’audience ?
E.K : Vous savez à la Gendarmerie, on est très discret. Souffrez que je ne vous en dise pas plus. Mais, il faut savoir que ce sont des échanges sur la gendarmerie. Le chef du Gouvernement voulait savoir si nous avons fait le redéploiement, quelles sont les difficultés auxquelles nous sommes confrontés. Les gens ont déjà quitté les bureaux, les brigades. Il ya quelques difficultés. Mais en relation très étroite avec nos frères d’armes de FRCI, tout cela est en voie de règlement. Il n’y a pas de soucis.
Avez-vous parlé du cas Guiai Bi Poin?
E. K : Ce n’est pas un cas en tant que tel. Il a été interpelé par le commissaire du Gouvernement. Il a été entendu. Il a été remis en liberté. On est dans le ton de la réconciliation. Donc, il faut favoriser tout acte qui peut aller dans le sens de la réconciliation.
Quand est-ce que les gendarmes reviendront dans les barrages ?
E. K : Il ne faut pas parler en terme de barrage. Tout ce que nous devons faire c’est d’aller progressivement à la suppression des barrages. Les barrages constituent un gros obstacle à la fluidité des personnes et marchandises. Nous allons faire des suggestions pour voir comment nous pouvons allier les impératifs économiques les impératifs sécuritaires.
E.K : Vous savez à la Gendarmerie, on est très discret. Souffrez que je ne vous en dise pas plus. Mais, il faut savoir que ce sont des échanges sur la gendarmerie. Le chef du Gouvernement voulait savoir si nous avons fait le redéploiement, quelles sont les difficultés auxquelles nous sommes confrontés. Les gens ont déjà quitté les bureaux, les brigades. Il ya quelques difficultés. Mais en relation très étroite avec nos frères d’armes de FRCI, tout cela est en voie de règlement. Il n’y a pas de soucis.
Avez-vous parlé du cas Guiai Bi Poin?
E. K : Ce n’est pas un cas en tant que tel. Il a été interpelé par le commissaire du Gouvernement. Il a été entendu. Il a été remis en liberté. On est dans le ton de la réconciliation. Donc, il faut favoriser tout acte qui peut aller dans le sens de la réconciliation.
Quand est-ce que les gendarmes reviendront dans les barrages ?
E. K : Il ne faut pas parler en terme de barrage. Tout ce que nous devons faire c’est d’aller progressivement à la suppression des barrages. Les barrages constituent un gros obstacle à la fluidité des personnes et marchandises. Nous allons faire des suggestions pour voir comment nous pouvons allier les impératifs économiques les impératifs sécuritaires.