Candidat déclaré à la succession de Jacques Anouma, Alain Lobognon tient à mettre quelques points sur les i, suite aux rumeurs l’annonçant à l’Africa Sports.
l A quel niveau êtes-vous dans la préparation de votre candidature, à la présidence de la FIF ?
Ma candidature prendra une autre tournure à l’issue de l’Assemblée générale de la Fédération ivoirienne de football (FIF), prévue le samedi 18 juin.
l Depuis votre dernière sortie dans nos colonnes justifiant votre candidature, vous avez eu un feed-back ?
Oui. J’ai eu beaucoup de réactions. J’ai eu de nombreux rendez-vous qui n’ont pas pu être respectés en raison de mon calendrier chargé.
l Le journal Supersport a indiqué, hier, à sa une, que vous convoité la présidence de l’Africa Sports d’Abidjan pour succéder à Kuyo Téa Narcisse. Vrai ou faux ?
Je suis déjà le président du Club omnisports de Fresco et je ne sais pas pourquoi j’irai diriger un autre club.
L’Africa ne m’intéresse pas.
l L’information est donc fausse…
A la une du journal il est indiqué : « Lobognon veut la présidence de l’Africa Sports » et à l’intérieur on constate que l’information est au conditionnel. Ce sont des rumeurs et je ne me sens pas concerné par elles.
l Avez-vous des nouvelles du président de la FIF, Jacques Anouma et quel sort comptez-vous lui réserver ?
Jusqu’à preuve du contraire, Jacques Anouma demeure le président de la FIF. Il n’a pas encore dit qu’il ne se représenterait plus à la FIF. S’il advenait qu’il ne se présentait pas, il demeurera toujours un responsable du football ivoirien car, il fait partie des instances de la CAF et de la FIFA. Nous pensons qu’en tant que président de la FIF, Anouma restera le principal interlocuteur du futur président de la FIF. Nous compter respecter la fonction qu’il a occupée.
l Selon des indiscrétions, Anouma aurait des craintes pour son retour au pays. Qu’en savez-vous ?
Je ne pense pas que des menaces planent sur le retour du président de la FIF. Le président de la République l’a indiqué. Il n’y aura pas de chasse aux sorcières. Il appartient aux responsables du football ivoirien de mener la défense nécessaire pour permettre à Jacques Anouma d’avoir la sécurité nécessaire pour son retour en Côte d’Ivoire.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Mercato
l A quel niveau êtes-vous dans la préparation de votre candidature, à la présidence de la FIF ?
Ma candidature prendra une autre tournure à l’issue de l’Assemblée générale de la Fédération ivoirienne de football (FIF), prévue le samedi 18 juin.
l Depuis votre dernière sortie dans nos colonnes justifiant votre candidature, vous avez eu un feed-back ?
Oui. J’ai eu beaucoup de réactions. J’ai eu de nombreux rendez-vous qui n’ont pas pu être respectés en raison de mon calendrier chargé.
l Le journal Supersport a indiqué, hier, à sa une, que vous convoité la présidence de l’Africa Sports d’Abidjan pour succéder à Kuyo Téa Narcisse. Vrai ou faux ?
Je suis déjà le président du Club omnisports de Fresco et je ne sais pas pourquoi j’irai diriger un autre club.
L’Africa ne m’intéresse pas.
l L’information est donc fausse…
A la une du journal il est indiqué : « Lobognon veut la présidence de l’Africa Sports » et à l’intérieur on constate que l’information est au conditionnel. Ce sont des rumeurs et je ne me sens pas concerné par elles.
l Avez-vous des nouvelles du président de la FIF, Jacques Anouma et quel sort comptez-vous lui réserver ?
Jusqu’à preuve du contraire, Jacques Anouma demeure le président de la FIF. Il n’a pas encore dit qu’il ne se représenterait plus à la FIF. S’il advenait qu’il ne se présentait pas, il demeurera toujours un responsable du football ivoirien car, il fait partie des instances de la CAF et de la FIFA. Nous pensons qu’en tant que président de la FIF, Anouma restera le principal interlocuteur du futur président de la FIF. Nous compter respecter la fonction qu’il a occupée.
l Selon des indiscrétions, Anouma aurait des craintes pour son retour au pays. Qu’en savez-vous ?
Je ne pense pas que des menaces planent sur le retour du président de la FIF. Le président de la République l’a indiqué. Il n’y aura pas de chasse aux sorcières. Il appartient aux responsables du football ivoirien de mener la défense nécessaire pour permettre à Jacques Anouma d’avoir la sécurité nécessaire pour son retour en Côte d’Ivoire.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Mercato