l Olefongo Dagnogo, Sg du Syndicat national des biotechnologistes de Côte d’Ivoire (Synab-Ci) : « La situation n’a pas évolué dans les laboratoires »
« Le bilan n’est pas trop reluisant au niveau des laboratoires. Ceci parce que nos camarades continuent de travailler dans des conditions difficiles. Il y a eu peu de laboratoires qui ont bénéficié d’un appui en réactifs et équipements pour mener à bien cette activité de gratuité des actes. Or, vous le savez bien, si le laboratoire ne dispose pas de réactifs et d’équipements, malgré la disponibilité et la bonne volonté des ressources humaines, elles ne sauraient satisfaire les besoins des populations. A quelques jours de l’échéance de cette gratuité, je puis vous dire que la situation a très peu évolué par rapport aux premiers jours de l’opération ».
l Dr Atté Boka, Sg du Syndicat national des cadres supérieurs de la santé de Côte d’Ivoire (Synacass-Ci) : « La gratuité ne doit pas être de l’à-peu-près
« La gratuité doit être accompagnée de médicaments et d’intrants de laboratoire. Après avoir examiné les malades, il faut qu’ils puissent avoir des médicaments pour se traiter. Il ne faut pas que la gratuité soit de l’à-peu-près. Dans cette période difficile, notre souhait est que le gouvernement reconduise la mesure, mais en faisant en sorte que le personnel soignant ne soit pas débordé. Il est important que des dispositions soient prises pour faire le tri des malades pour que ce soit les cas vraiment urgents qui se présentent à nous. Il faut également une campagne de sensibilisation pour dire aux populations qui ne sont pas malades de rester chez-elles ».
l Gnonsahé Hélène, Sg du Syndicat national des sages-femmes ivoiriennes (Synsfi) :
« Il faut associer les syndicats à cette mesure »
« En tant que femme, la gratuité est une bonne chose pour les femmes qui viennent accoucher. Dans le temps, nous avions fait une campagne pour que le kit de la césarienne soit gratuit. Aujourd’hui, si les soins sont gratuits, c’est vraiment une bonne chose. Il faut associer à cette gratuité les syndicats parce qu’il y a une surcharge de travail. Il est important de réorganiser cette gratuité pour qu’elle ne soit pas pénible pour le personnel soignant. Et pour finir, mettre en place du matériel adéquat pour permettre aux agents de santé de travailler.»
Propos recueillis par A.K.
« Le bilan n’est pas trop reluisant au niveau des laboratoires. Ceci parce que nos camarades continuent de travailler dans des conditions difficiles. Il y a eu peu de laboratoires qui ont bénéficié d’un appui en réactifs et équipements pour mener à bien cette activité de gratuité des actes. Or, vous le savez bien, si le laboratoire ne dispose pas de réactifs et d’équipements, malgré la disponibilité et la bonne volonté des ressources humaines, elles ne sauraient satisfaire les besoins des populations. A quelques jours de l’échéance de cette gratuité, je puis vous dire que la situation a très peu évolué par rapport aux premiers jours de l’opération ».
l Dr Atté Boka, Sg du Syndicat national des cadres supérieurs de la santé de Côte d’Ivoire (Synacass-Ci) : « La gratuité ne doit pas être de l’à-peu-près
« La gratuité doit être accompagnée de médicaments et d’intrants de laboratoire. Après avoir examiné les malades, il faut qu’ils puissent avoir des médicaments pour se traiter. Il ne faut pas que la gratuité soit de l’à-peu-près. Dans cette période difficile, notre souhait est que le gouvernement reconduise la mesure, mais en faisant en sorte que le personnel soignant ne soit pas débordé. Il est important que des dispositions soient prises pour faire le tri des malades pour que ce soit les cas vraiment urgents qui se présentent à nous. Il faut également une campagne de sensibilisation pour dire aux populations qui ne sont pas malades de rester chez-elles ».
l Gnonsahé Hélène, Sg du Syndicat national des sages-femmes ivoiriennes (Synsfi) :
« Il faut associer les syndicats à cette mesure »
« En tant que femme, la gratuité est une bonne chose pour les femmes qui viennent accoucher. Dans le temps, nous avions fait une campagne pour que le kit de la césarienne soit gratuit. Aujourd’hui, si les soins sont gratuits, c’est vraiment une bonne chose. Il faut associer à cette gratuité les syndicats parce qu’il y a une surcharge de travail. Il est important de réorganiser cette gratuité pour qu’elle ne soit pas pénible pour le personnel soignant. Et pour finir, mettre en place du matériel adéquat pour permettre aux agents de santé de travailler.»
Propos recueillis par A.K.