Le moment est certes propice à l'usage des biceps pour régler ses comptes, les services de police et de gendarmerie presque absents, et les tribunaux tournant au ralenti. L'on a tout de suite recours aux Forces Républicaines qui ne sont pas toujours au parfum de toutes les affaires pour se faire entendre. Le bras-de -fer qui oppose actuellement, les anciens dirigeants de l'OIC à l'actuel administrateur provisoire Abdoul Dramane, suscite quelques interrogations. Pourquoi, les anciens dirigeants qui ont été réhabilités par la justice, n'attendent-ils pas que, les choses reprennent normalement avec la formation du gouvernement pour conduire soit pacifiquement soit par voie de droit, leur réinstallation à la tête de l'OIC ? Comment peut-on aussi expliquer qu'une administration provisoire puisse durer sept années ?
Des réponses précises à ces inquiétudes devraient permettre de sortir l'OIC de la tourmente dans laquelle ses sociétaires tentent de l'installer. De toute évidence, il faut en finir avec cette fâcheuse habitude instaurée par l'ancien régime qui consistait à installer la chienlit à la tête des sociétés à participation financière publique. Ce qu'on attend de la tutelle, c'est de vite prendre le dossier en mains, l'appréhender en toute objectivité afin de mettre fin à cette cacophonie. C'est aussi l'occasion, avec suffisamment de jauge, les changements idoines à la tête des différentes structures étatiques. Evitons simplement le syndrome du FPI qui avec sa cohorte de jeunes patriotes installaient des hommes liges aux commandes des structures étatiques financières. Le modèle Gbagbo, c'est fini.
MK
Des réponses précises à ces inquiétudes devraient permettre de sortir l'OIC de la tourmente dans laquelle ses sociétaires tentent de l'installer. De toute évidence, il faut en finir avec cette fâcheuse habitude instaurée par l'ancien régime qui consistait à installer la chienlit à la tête des sociétés à participation financière publique. Ce qu'on attend de la tutelle, c'est de vite prendre le dossier en mains, l'appréhender en toute objectivité afin de mettre fin à cette cacophonie. C'est aussi l'occasion, avec suffisamment de jauge, les changements idoines à la tête des différentes structures étatiques. Evitons simplement le syndrome du FPI qui avec sa cohorte de jeunes patriotes installaient des hommes liges aux commandes des structures étatiques financières. Le modèle Gbagbo, c'est fini.
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