Lakota - Deux mois après le pillage subi par le conseil général de Lakota, les conseillers se sont retrouvé samedi pour l’état des lieux.
Il ne reste pratiquement rien du conseil général du département de Lakota, ont exprimé les conseillers généraux et agents qui ont évalué les importants dommages subis par la collectivité locale.
Les ordinateurs, le mobilier, les climatiseurs et les splits ont été tous emportés. Même les sanitaires, le matériel d’électricité et de plomberie ont été arrachés et emportés par des vandales qui ont laissé, à l’issue de leurs actes de pillage les 30 et 31 mars, d’importants administratifs traîner dans la cour.
En l’absence du président du conseil, c’est le premier-vice président, M. Zakra Assoulou Nicodème, qui a présidé la première réunion après le pillage.
A l’issue de la visite des bureaux, M. Zakra a déclaré que du conseil général de Lakota, il ne reste que les murs et le toit.
Il a rassuré les agents qui accusent deux mois d’arriérés de salaires de la préservation de leurs emplois.
(AIP)
Il ne reste pratiquement rien du conseil général du département de Lakota, ont exprimé les conseillers généraux et agents qui ont évalué les importants dommages subis par la collectivité locale.
Les ordinateurs, le mobilier, les climatiseurs et les splits ont été tous emportés. Même les sanitaires, le matériel d’électricité et de plomberie ont été arrachés et emportés par des vandales qui ont laissé, à l’issue de leurs actes de pillage les 30 et 31 mars, d’importants administratifs traîner dans la cour.
En l’absence du président du conseil, c’est le premier-vice président, M. Zakra Assoulou Nicodème, qui a présidé la première réunion après le pillage.
A l’issue de la visite des bureaux, M. Zakra a déclaré que du conseil général de Lakota, il ne reste que les murs et le toit.
Il a rassuré les agents qui accusent deux mois d’arriérés de salaires de la préservation de leurs emplois.
(AIP)