Un commando de 20 soldats des FRCI a pris d’assaut le vendredi 3 juin 2011 les locaux de l’OIC (Office Ivoirien des chargeurs) intimant l’ordre à tout le personnel de quitter les lieux.
L’avocat de l’ancien Dg Bakayoko Abdoul Dramane, Me Diomandé Vafoungbé qui voulait savoir davantage sur cette question s’est dit outré. ‘’En tant qu’avocat de la société, aucun document juridique n’a été présenté pour agir ainsi. Cela est injuste car nous devons revenir à un Etat de droit tel que prôné par les nouvelles autorités’’, a-t-il déclaré. Les échanges entre M. Sidibé, DAF de l’OIC et les éléments des FRCI n’ont rien donné. Aux dernières nouvelles, c’est l’expert comptable Ouattara Aboubacar qui a été installé comme administrateur provisoire pour diriger cette institution. Pour rappel, une crise était ouverte entre dirigeants de l’OIC (Office ivoirien des Chargeurs). D’un côté, les anciens dirigeants qui veulent reprendre le contrôle de l’institution, et de l’autre côté ceux qui étaient encore aux affaires peu avant que la société ne soit assiégée par les Frci. Serge Ouattara, délégué du personnel de l’OIC, aurait saisi à nouveau, apprend-on, le Procureur de la République, pour la manifestation de la vérité. A peine le gouvernement installé, un dossier chaud attend le nouveau ministre des Transports. En faveur de qui va-t-il trancher conformément aux textes de l’OIC ? Attendons de voir.
AK
L’avocat de l’ancien Dg Bakayoko Abdoul Dramane, Me Diomandé Vafoungbé qui voulait savoir davantage sur cette question s’est dit outré. ‘’En tant qu’avocat de la société, aucun document juridique n’a été présenté pour agir ainsi. Cela est injuste car nous devons revenir à un Etat de droit tel que prôné par les nouvelles autorités’’, a-t-il déclaré. Les échanges entre M. Sidibé, DAF de l’OIC et les éléments des FRCI n’ont rien donné. Aux dernières nouvelles, c’est l’expert comptable Ouattara Aboubacar qui a été installé comme administrateur provisoire pour diriger cette institution. Pour rappel, une crise était ouverte entre dirigeants de l’OIC (Office ivoirien des Chargeurs). D’un côté, les anciens dirigeants qui veulent reprendre le contrôle de l’institution, et de l’autre côté ceux qui étaient encore aux affaires peu avant que la société ne soit assiégée par les Frci. Serge Ouattara, délégué du personnel de l’OIC, aurait saisi à nouveau, apprend-on, le Procureur de la République, pour la manifestation de la vérité. A peine le gouvernement installé, un dossier chaud attend le nouveau ministre des Transports. En faveur de qui va-t-il trancher conformément aux textes de l’OIC ? Attendons de voir.
AK
