. Des habitants : « Nous craignons le pire »
Les activités socio-économiques ont connu un ralentissement, le vendredi 3 juin 2011, dans plusieurs services, en raison de la forte pluie qui s’est abattue sur Abidjan, pendant des heures, à partir de 6h. Ce qui a fait craindre des catastrophes dans des zones à risques. A Bonomin, à la Riviera, des populations sont passées à côté d’un drame. « Depuis le matin, il y a eu une forte pluie. Nous étions en train de prier pour ne pas connaître les drames des années passées. Toutefois, avec le début des pluies, nous craignons le pire », se sont inquiétées dame Coulibaly et l’une de ses cousines, qui se sont réveillées à 6h30mn pour observer l’évolution de la pluie. A Attécoubé, précisément dans le secteur Boribana, les eaux de ruissellement ont sérieusement perturbé la quiétude des riverains. Mais il y a eu plus de peur que de mal. En effet, à notre passage, les caniveaux d’évacuation avaient absorbé une bonne quantité d’eau de pluie pour le grand soulagement des populations. Cependant, celles-ci étaient sur leurs gardes. « Nous ne sommes qu’au début de la saison des pluies.
Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire que nous sommes à l’abri. Nous observons. C’est pourquoi, nous demandons aux autorités d’être vigilantes. Nous le serons également en les alertant en temps opportuns », nous a confié un chef de quartier qui a requis l’anonymat. A l’échangeur de l’Indénié (entre Adjamé et Cocody), le travail que continuaient d’effectuer les pelleteuses (dragage) a permis d’éviter une inondation, comme on en voit d’habitude. Dans la commune de Koumassi, la pluie n’a pas facilité les choses. De fait, plusieurs rues principales ont été submergées. Notamment, la ligne des bus 13, une grande partie du boulevard du Gabon. Au niveau du quartier Sogefhia, dans les environs de l’église Buissons Ardents, des véhicules ont dû faire des détours pour éviter d’être pris dans les eaux qui ont occupé la chaussée. Au moment où nous mettions sous presse, aucune perte en vie humaine tout comme des dégâts importants n’avaient été signalés, ce vendredi.
M’BRA Konan
Les activités socio-économiques ont connu un ralentissement, le vendredi 3 juin 2011, dans plusieurs services, en raison de la forte pluie qui s’est abattue sur Abidjan, pendant des heures, à partir de 6h. Ce qui a fait craindre des catastrophes dans des zones à risques. A Bonomin, à la Riviera, des populations sont passées à côté d’un drame. « Depuis le matin, il y a eu une forte pluie. Nous étions en train de prier pour ne pas connaître les drames des années passées. Toutefois, avec le début des pluies, nous craignons le pire », se sont inquiétées dame Coulibaly et l’une de ses cousines, qui se sont réveillées à 6h30mn pour observer l’évolution de la pluie. A Attécoubé, précisément dans le secteur Boribana, les eaux de ruissellement ont sérieusement perturbé la quiétude des riverains. Mais il y a eu plus de peur que de mal. En effet, à notre passage, les caniveaux d’évacuation avaient absorbé une bonne quantité d’eau de pluie pour le grand soulagement des populations. Cependant, celles-ci étaient sur leurs gardes. « Nous ne sommes qu’au début de la saison des pluies.
Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire que nous sommes à l’abri. Nous observons. C’est pourquoi, nous demandons aux autorités d’être vigilantes. Nous le serons également en les alertant en temps opportuns », nous a confié un chef de quartier qui a requis l’anonymat. A l’échangeur de l’Indénié (entre Adjamé et Cocody), le travail que continuaient d’effectuer les pelleteuses (dragage) a permis d’éviter une inondation, comme on en voit d’habitude. Dans la commune de Koumassi, la pluie n’a pas facilité les choses. De fait, plusieurs rues principales ont été submergées. Notamment, la ligne des bus 13, une grande partie du boulevard du Gabon. Au niveau du quartier Sogefhia, dans les environs de l’église Buissons Ardents, des véhicules ont dû faire des détours pour éviter d’être pris dans les eaux qui ont occupé la chaussée. Au moment où nous mettions sous presse, aucune perte en vie humaine tout comme des dégâts importants n’avaient été signalés, ce vendredi.
M’BRA Konan