C’est la grande frayeur ces temps-ci pour monsieur et madame Raphaël Lakpé. Depuis quelques jours, il ne se passe plus une seule journée sans que le Conseiller de la Rédaction du Patriote et son épouse, Colette Pellaud Lakpé, un temps « speakerine » en langue vernaculaire bété, sur TCI, ne reçoivent de coups de fil de la part d’individus malintentionnés.
Ceux-ci, tapis dans l’ombre, appellent quotidiennement pour s’adonner à des menaces. Au départ, explique le couple c’était des railleries surtout après la formation du premier gouvernement de l’ère Alassane Ouattara. « Mais maintenant, ce sont des menaces du genre : vous avez suivi les d… et leur Alassane Ouattara. A cause de vous, notre pays est occupé par des étrangers. Vous allez voir ce qu’on va vous faire. Ils ont tué beaucoup d’entre nous, mais le peu qui reste ne vous ratera pas. Dans tous les cas, notre pays sera libéré. On commencera par vous ! ». Ces menaces avaient commencé lorsque le quotidien Le Temps avait publié le numéro de téléphone de Mme Lakpé et ceux de bien d’autres personnes qui logeaient au Golf Hôtel durant la crise postélectorale. « A l’époque, ces menaces n’étaient pas aussi graves. Mais aujourd’hui, elles se sont accentuées », souligne le couple. Et le comble, c’est que dimanche, des individus se sont présentés devant leur résidence. Après avoir violemment frappé au portail, ils ont commencé à proférer des menaces de mort avant de s’évanouir dans la nature. Sûr que pour bon nombre de personnalités, la tranquillité n’est pas encore de mise.
DS
Ceux-ci, tapis dans l’ombre, appellent quotidiennement pour s’adonner à des menaces. Au départ, explique le couple c’était des railleries surtout après la formation du premier gouvernement de l’ère Alassane Ouattara. « Mais maintenant, ce sont des menaces du genre : vous avez suivi les d… et leur Alassane Ouattara. A cause de vous, notre pays est occupé par des étrangers. Vous allez voir ce qu’on va vous faire. Ils ont tué beaucoup d’entre nous, mais le peu qui reste ne vous ratera pas. Dans tous les cas, notre pays sera libéré. On commencera par vous ! ». Ces menaces avaient commencé lorsque le quotidien Le Temps avait publié le numéro de téléphone de Mme Lakpé et ceux de bien d’autres personnes qui logeaient au Golf Hôtel durant la crise postélectorale. « A l’époque, ces menaces n’étaient pas aussi graves. Mais aujourd’hui, elles se sont accentuées », souligne le couple. Et le comble, c’est que dimanche, des individus se sont présentés devant leur résidence. Après avoir violemment frappé au portail, ils ont commencé à proférer des menaces de mort avant de s’évanouir dans la nature. Sûr que pour bon nombre de personnalités, la tranquillité n’est pas encore de mise.
DS
