Le Mouvement j’aime la Côte d’Ivoire (Mjci) estime que la Côte d’Ivoire doit dire merci au Premier ministre, Guillaume Soro, pour ses efforts en faveur de la sortie de crise. A cet effet, son président, Harouna Douamba, annonce un grand meeting de reconnaissance le 25 juin prochain.
Vous préparez pour le 25 juin prochain, une grande manifestation pour célébrer la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire. De quoi s’agira-t-il ?
C’est un grand meeting de lancement officiel de nos activités. Au cours de ce meeting, on parlera de pardon, de réconciliation et de l’avenir de la Côte d’Ivoire. Le meeting se tiendra au Stade d’Angré. Il sera précédé d’une marche de reconnaissance et de soutien au Premier ministre, Guillaume Soro pour tout ce qu’il a fait pour que triomphe la démocratie. La marche partira du rond-point de la mairie d’Abobo. La procession rejoindra les habitants du Plateau-Dokui avant d’arriver au lieu de la manifestation. Les populations d’Abobo-Baoulé, de Treichville, de Koumassi se joindront également à la fête.
Qu’est-ce qui explique la nécessité de dire merci au Premier ministre ?
Pour nous, lorsqu’on parle de réconciliation, on parle également de paix et de justice. Il y a des gens qui ont œuvré pour que la paix revienne en Côte d’Ivoire. Or, une autre façon de faire régner la justice est de leur dire merci. Dans ce combat, le Premier ministre a joué un rôle plus que déterminant. Il a fait un excellent travail. La grande sagesse dont il a fait preuve a sauvé la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas un soutien que nous lui apportons mais plutôt une reconnaissance du peule de Côte d’Ivoire. Cela regroupe tous ceux qui vivent sur cette terre qu’ils soient Ivoiriens ou non. C’est une manière de lui dire merci parce qu’on avait vraiment besoin de la paix en Côte d’Ivoire. On avait besoin de la démocratie, de pouvoir exprimer librement notre opinion dans les urnes. Et, je crois qu’il a été pour beaucoup dans la réalisation de ce vœu. La Côte d’Ivoire lui doit un grand merci.
Le Mjci posera-t-il d’autres actions au-delà de cette manifestation ?
Le Mjci ne compte pas s’arrêter à la manifestation du 25 juin. Nous organiserons d’autres meetings à l’intérieur du pays et dans d’autres pays où nous avons déjà des représentations. Nous envisageons œuvrer énormément dans le social. Nous verrons comment rénover, par exemple, des écoles, des hôpitaux. Nous avons également un prix dénommé Prix du fair-play électoral. Nous avons décidé de le décerner à des candidats malheureux de la présidentielle qui ont accepté, sans rechigner, leur défaite. Car, ce que nous vivons, aujourd’hui, est la conséquence du refus de l’acceptation du verdict des urnes. Ce qui ne s’explique pas dans la mesure où lorsqu’on décide d’aller à une élection, il faut s’attendre à la remporter ou à la perdre. Nous décernerons donc ce prix pour dire merci au candidat qui a accepté le choix du peuple. Jusque-là on parlait de fair-play sportif. Alors que les hommes politiques en ont aussi besoin. Il ne faut pas attendre seulement qu’ils soient vainqueurs pour aller vers eux.
Un prix est-il prévu pour le Premier ministre ?
Pas pour l’instant. Nous avons décidé de lui dire merci tout simplement. Son boulot n’est pas encore terminé. Il a encore beaucoup de travail. Si après nous jugeons nécessaire de lui décerner un prix, nous le ferons.
Entretien réalisé par Bamba K. Inza
Vous préparez pour le 25 juin prochain, une grande manifestation pour célébrer la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire. De quoi s’agira-t-il ?
C’est un grand meeting de lancement officiel de nos activités. Au cours de ce meeting, on parlera de pardon, de réconciliation et de l’avenir de la Côte d’Ivoire. Le meeting se tiendra au Stade d’Angré. Il sera précédé d’une marche de reconnaissance et de soutien au Premier ministre, Guillaume Soro pour tout ce qu’il a fait pour que triomphe la démocratie. La marche partira du rond-point de la mairie d’Abobo. La procession rejoindra les habitants du Plateau-Dokui avant d’arriver au lieu de la manifestation. Les populations d’Abobo-Baoulé, de Treichville, de Koumassi se joindront également à la fête.
Qu’est-ce qui explique la nécessité de dire merci au Premier ministre ?
Pour nous, lorsqu’on parle de réconciliation, on parle également de paix et de justice. Il y a des gens qui ont œuvré pour que la paix revienne en Côte d’Ivoire. Or, une autre façon de faire régner la justice est de leur dire merci. Dans ce combat, le Premier ministre a joué un rôle plus que déterminant. Il a fait un excellent travail. La grande sagesse dont il a fait preuve a sauvé la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas un soutien que nous lui apportons mais plutôt une reconnaissance du peule de Côte d’Ivoire. Cela regroupe tous ceux qui vivent sur cette terre qu’ils soient Ivoiriens ou non. C’est une manière de lui dire merci parce qu’on avait vraiment besoin de la paix en Côte d’Ivoire. On avait besoin de la démocratie, de pouvoir exprimer librement notre opinion dans les urnes. Et, je crois qu’il a été pour beaucoup dans la réalisation de ce vœu. La Côte d’Ivoire lui doit un grand merci.
Le Mjci posera-t-il d’autres actions au-delà de cette manifestation ?
Le Mjci ne compte pas s’arrêter à la manifestation du 25 juin. Nous organiserons d’autres meetings à l’intérieur du pays et dans d’autres pays où nous avons déjà des représentations. Nous envisageons œuvrer énormément dans le social. Nous verrons comment rénover, par exemple, des écoles, des hôpitaux. Nous avons également un prix dénommé Prix du fair-play électoral. Nous avons décidé de le décerner à des candidats malheureux de la présidentielle qui ont accepté, sans rechigner, leur défaite. Car, ce que nous vivons, aujourd’hui, est la conséquence du refus de l’acceptation du verdict des urnes. Ce qui ne s’explique pas dans la mesure où lorsqu’on décide d’aller à une élection, il faut s’attendre à la remporter ou à la perdre. Nous décernerons donc ce prix pour dire merci au candidat qui a accepté le choix du peuple. Jusque-là on parlait de fair-play sportif. Alors que les hommes politiques en ont aussi besoin. Il ne faut pas attendre seulement qu’ils soient vainqueurs pour aller vers eux.
Un prix est-il prévu pour le Premier ministre ?
Pas pour l’instant. Nous avons décidé de lui dire merci tout simplement. Son boulot n’est pas encore terminé. Il a encore beaucoup de travail. Si après nous jugeons nécessaire de lui décerner un prix, nous le ferons.
Entretien réalisé par Bamba K. Inza