Les Etats-Unis ont autorisé le retour en Côte d`Ivoire de leur personnel diplomatique non-essentiel, qui avait quitté le pays pendant la crise post-présidentielle, a annoncé jeudi le département d`Etat.
En décembre, alors que le pays sombrait dans une crise née du deuxième tour de l`élection présidentielle, la diplomatie américaine avait fait rapatrier les membres de son équipe diplomatique et leur famille.
Mais, souligne le département d`Etat dans un communiqué, "les employés du
gouvernement américain" ne pourront pas retourner en Côte d`Ivoire "accompagnés de mineurs qui dépendent d`eux".
Selon Washington, la situation dans le pays s`améliore mais "peut changer à tout moment sans signes avant-coureurs".
La Côte d`Ivoire a été secouée par une très grave crise après que le président sortant Laurent Gbagbo a refusé de reconnaître sa défaite face à son adversaire Alassane Ouattara à l`issue du deuxième tour de la présidentielle en novembre.
Selon le nouveau pouvoir, en place depuis l`arrestation de M. Gbagbo le 11 avril, quelque 3.000 personnes ont péri dans des affrontements jusqu`à la mi-mai.
"Bien qu`Abidjan soit considérablement plus calme depuis l`arrestation de l`ancien président Gbagbo, la loi et l`ordre ne prévalent pas encore dans tous les quartiers d`Abidjan et dans certaines zones rurales", explique le département d`Etat.
En décembre, alors que le pays sombrait dans une crise née du deuxième tour de l`élection présidentielle, la diplomatie américaine avait fait rapatrier les membres de son équipe diplomatique et leur famille.
Mais, souligne le département d`Etat dans un communiqué, "les employés du
gouvernement américain" ne pourront pas retourner en Côte d`Ivoire "accompagnés de mineurs qui dépendent d`eux".
Selon Washington, la situation dans le pays s`améliore mais "peut changer à tout moment sans signes avant-coureurs".
La Côte d`Ivoire a été secouée par une très grave crise après que le président sortant Laurent Gbagbo a refusé de reconnaître sa défaite face à son adversaire Alassane Ouattara à l`issue du deuxième tour de la présidentielle en novembre.
Selon le nouveau pouvoir, en place depuis l`arrestation de M. Gbagbo le 11 avril, quelque 3.000 personnes ont péri dans des affrontements jusqu`à la mi-mai.
"Bien qu`Abidjan soit considérablement plus calme depuis l`arrestation de l`ancien président Gbagbo, la loi et l`ordre ne prévalent pas encore dans tous les quartiers d`Abidjan et dans certaines zones rurales", explique le département d`Etat.