Anouma-Clubs : ça va chauffer ce matin !
Il y a des étincelles dans l’air. La bourse du travail de Treichville qui abrite, ce jour, l’Assemblée générale mixte de la Fédération ivoirienne de football (Fif) pourrait se transformer en un tribunal populaire. Des clubs sont en colère contre le président de la Fif. Et ils entendent le lui dire en face. Certains lui reprochent de n’avoir pas tenu ses promesses, d’autres l’accusent d’avoir abandonné le football local. D’autres encore vont plus loin pour parler d’une absence de politique pour le développement du football au plan local. Ils expliquent cela par l’absence d’un championnat des jeunes et surtout le pâle visage que présentent les équipes locales aux compétitions internationales. En somme, il y a beaucoup de récriminations contre Jacques Anouma et son comité. Mais le président de la Fif a sans doute une explication à toutes ces questions, mieux il aura sa part de vérité à cracher aux clubs. Surtout ceux qui ne font aucun effort pour rechercher des moyens et qui ne limitent leur budget qu’à la subvention de la Fif. Le président Anouma va sans aucun doute dénoncer la gestion jacobine de certains clubs par la faute de qui le football ivoirien ne va pas de l’avant. La langue de bois ne sera pas au rendez-vous. En outre, les débats s’annoncent houleux notamment autour des textes. Dans les coulisses, l’on fait savoir que le comité exécutif conduit par Jacques Anouma n’a plus aucune légitimité. Son mandat serait arrivé à terme au mois de mars dernier. Dans les mêmes coulisses certaines personnes dénoncent le fait que Jacques Anouma n’ait plus convoqué d’Assemblée générale depuis 2008, comme le stipulent les textes. Ils l’accusent donc d’avoir tordu le cou aux textes et donc ne serait plus apte à faire acte de candidature. Il y a aussi une grosse fronde latente contre le président Anouma s’agissant de l’argent des deux coupes du monde. Mais à coup sûr, le président Anouma peut s’appuyer sur son bilan au plan international pour contrarier tous se détracteurs. Le rendez-vous de ce matin va s’articuler donc autour du bilan du président sortant et sur l’adoption des textes. C’est ce qui lui vaut son caractère d’Assemblée générale mixte. C’est au terme de celle-ci que la date de l’élection du nouveau président sera connue. Du moins, si les choses se passent bien.
COULIBALY Vamara
Il y a des étincelles dans l’air. La bourse du travail de Treichville qui abrite, ce jour, l’Assemblée générale mixte de la Fédération ivoirienne de football (Fif) pourrait se transformer en un tribunal populaire. Des clubs sont en colère contre le président de la Fif. Et ils entendent le lui dire en face. Certains lui reprochent de n’avoir pas tenu ses promesses, d’autres l’accusent d’avoir abandonné le football local. D’autres encore vont plus loin pour parler d’une absence de politique pour le développement du football au plan local. Ils expliquent cela par l’absence d’un championnat des jeunes et surtout le pâle visage que présentent les équipes locales aux compétitions internationales. En somme, il y a beaucoup de récriminations contre Jacques Anouma et son comité. Mais le président de la Fif a sans doute une explication à toutes ces questions, mieux il aura sa part de vérité à cracher aux clubs. Surtout ceux qui ne font aucun effort pour rechercher des moyens et qui ne limitent leur budget qu’à la subvention de la Fif. Le président Anouma va sans aucun doute dénoncer la gestion jacobine de certains clubs par la faute de qui le football ivoirien ne va pas de l’avant. La langue de bois ne sera pas au rendez-vous. En outre, les débats s’annoncent houleux notamment autour des textes. Dans les coulisses, l’on fait savoir que le comité exécutif conduit par Jacques Anouma n’a plus aucune légitimité. Son mandat serait arrivé à terme au mois de mars dernier. Dans les mêmes coulisses certaines personnes dénoncent le fait que Jacques Anouma n’ait plus convoqué d’Assemblée générale depuis 2008, comme le stipulent les textes. Ils l’accusent donc d’avoir tordu le cou aux textes et donc ne serait plus apte à faire acte de candidature. Il y a aussi une grosse fronde latente contre le président Anouma s’agissant de l’argent des deux coupes du monde. Mais à coup sûr, le président Anouma peut s’appuyer sur son bilan au plan international pour contrarier tous se détracteurs. Le rendez-vous de ce matin va s’articuler donc autour du bilan du président sortant et sur l’adoption des textes. C’est ce qui lui vaut son caractère d’Assemblée générale mixte. C’est au terme de celle-ci que la date de l’élection du nouveau président sera connue. Du moins, si les choses se passent bien.
COULIBALY Vamara