Les jeunesses des différentes formations politiques ne veulent plus se faire dicter les leçons de la politique par leurs aînés. Fini donc le temps du suivisme et du rôle de second plan.
Les jeunes attendent prendre leur responsabilité et se faire une place au devant de la scène politique. Les futures élections générales vont constituer cette plate-forme qui va permettre à plusieurs jeunes de s’exprimer. Et ce vent de révolution de la jeunesse va souffler dans tous les partis politiques. Pour l’instant, c’est le silence radio autour de plusieurs de ces ‘’velléités politiques’’. Et c’est à dessein, son car il faut éviter de s’attirer la foudre de certaines mauvaises intentions. Sur le terrain politique, tous les coups sont permis. Même l’ami peut se retrouver en position ‘’d’ennemi’’. Cette prudence et méfiance, certains jeunes leaders ont d’autres moyens pour les juguler. Leur devise consiste à vite déclarer leur ambition politique au risque de voir des doyens de leur famille politique se positionner dans la circonscription qu’ils comptent administer. C’est ce que le Président la Jeunesse Pdci-Rda a fait. Kouadio Konan Bertin dit KKB s’est donc empressé pour déclarer sa candidature aux futures Législatives dans la commune de Port- Bouët. Certes, il vient couper l’herbe sous les pieds de plusieurs de ses aînés au Pdci qui lorgnaient cette commune. Le jeune loup du parti doyen semble ne pas être effrayé par qui que ce soit. D’ailleurs, il bénéficie de soutien de taille tel que celui de Madame le maire de Port Bouet, Aka Anghui. En dehors de KKB, d’autres jeunes ambitieux au sein du Pdci affûtent leurs armes pour occuper aussi des sièges aux législatives, aux municipales et aux Conseil généraux. La bataille de positionnement s’annonce donc très rude dans la famille politique du Président Henri Konan Bédié. Les jeunes leaders, bien que n’ayant pas de moyens financiers colossaux, veulent cependant faire valoir leur compétence et mettre à l’épreuve, la somme d’expérience acquise au cours de leur jeune carrière politique. Le Pdci-Rda ne sera pas le seul parti à être secoué par cette révolution juvénile. Le Rdr, le Fpi, l’Udpci, le Mfa sont tous dans la danse.
Ces noms qui circulent et qui inquiètent certains dinosaures
Au Pdci, les spéculations vont bon train. Plusieurs noms circulent dans les couloirs du siège du parti doyen. KKB même si cela est déjà su, Zié Coulibaly, Djah Jean, Abonouan dit Ampirus … Au Rdr, Yayoro Karamoko, Odje Tiacorey, Blé Goudé au Fpi… sont quelques noms de prétendants qui, à la vérité, inquiètent les aînés. L’inquiétude est plus grandissante quand on sait que le troisième âge s’est toujours appuyé sur la jeunesse pour atteindre son ambition politique. Vouloir tenir tête à cette frange pourrait conduire à un suicide politique.
L’équation est donc difficile à résoudre. Avant même que les échéances ne s’ouvrent, certains de ces jeunes subissent déjà des coups de ‘’dame politique’’. C’est le cas de Djah Jean qui est au centre des brouilles politiques dans sa région. Si on n’y prend garde, au Pdci, on pourrait assister à une bataille rangée entre générations. Les nominations au poste de ministre ayant échappé à plusieurs cadres de ce parti, les élections générales restent la seule voie de consolation pour récompenser la décennie de lutte politique. Les uns et les autres n’accepteront pas qu’on leur fasse encore le tort en leur fermant les portes de l’hémicycle, des mairies et Conseil généraux. Il va falloir donc batailler dur. Ça ne sera une partie de plaisir pour tous les ambitieux. En attendant, les jeunes leaders, quant à eux, ne laisseront pas l’année de grâce qui leur offerte.
BAKASSIEN
Les jeunes attendent prendre leur responsabilité et se faire une place au devant de la scène politique. Les futures élections générales vont constituer cette plate-forme qui va permettre à plusieurs jeunes de s’exprimer. Et ce vent de révolution de la jeunesse va souffler dans tous les partis politiques. Pour l’instant, c’est le silence radio autour de plusieurs de ces ‘’velléités politiques’’. Et c’est à dessein, son car il faut éviter de s’attirer la foudre de certaines mauvaises intentions. Sur le terrain politique, tous les coups sont permis. Même l’ami peut se retrouver en position ‘’d’ennemi’’. Cette prudence et méfiance, certains jeunes leaders ont d’autres moyens pour les juguler. Leur devise consiste à vite déclarer leur ambition politique au risque de voir des doyens de leur famille politique se positionner dans la circonscription qu’ils comptent administer. C’est ce que le Président la Jeunesse Pdci-Rda a fait. Kouadio Konan Bertin dit KKB s’est donc empressé pour déclarer sa candidature aux futures Législatives dans la commune de Port- Bouët. Certes, il vient couper l’herbe sous les pieds de plusieurs de ses aînés au Pdci qui lorgnaient cette commune. Le jeune loup du parti doyen semble ne pas être effrayé par qui que ce soit. D’ailleurs, il bénéficie de soutien de taille tel que celui de Madame le maire de Port Bouet, Aka Anghui. En dehors de KKB, d’autres jeunes ambitieux au sein du Pdci affûtent leurs armes pour occuper aussi des sièges aux législatives, aux municipales et aux Conseil généraux. La bataille de positionnement s’annonce donc très rude dans la famille politique du Président Henri Konan Bédié. Les jeunes leaders, bien que n’ayant pas de moyens financiers colossaux, veulent cependant faire valoir leur compétence et mettre à l’épreuve, la somme d’expérience acquise au cours de leur jeune carrière politique. Le Pdci-Rda ne sera pas le seul parti à être secoué par cette révolution juvénile. Le Rdr, le Fpi, l’Udpci, le Mfa sont tous dans la danse.
Ces noms qui circulent et qui inquiètent certains dinosaures
Au Pdci, les spéculations vont bon train. Plusieurs noms circulent dans les couloirs du siège du parti doyen. KKB même si cela est déjà su, Zié Coulibaly, Djah Jean, Abonouan dit Ampirus … Au Rdr, Yayoro Karamoko, Odje Tiacorey, Blé Goudé au Fpi… sont quelques noms de prétendants qui, à la vérité, inquiètent les aînés. L’inquiétude est plus grandissante quand on sait que le troisième âge s’est toujours appuyé sur la jeunesse pour atteindre son ambition politique. Vouloir tenir tête à cette frange pourrait conduire à un suicide politique.
L’équation est donc difficile à résoudre. Avant même que les échéances ne s’ouvrent, certains de ces jeunes subissent déjà des coups de ‘’dame politique’’. C’est le cas de Djah Jean qui est au centre des brouilles politiques dans sa région. Si on n’y prend garde, au Pdci, on pourrait assister à une bataille rangée entre générations. Les nominations au poste de ministre ayant échappé à plusieurs cadres de ce parti, les élections générales restent la seule voie de consolation pour récompenser la décennie de lutte politique. Les uns et les autres n’accepteront pas qu’on leur fasse encore le tort en leur fermant les portes de l’hémicycle, des mairies et Conseil généraux. Il va falloir donc batailler dur. Ça ne sera une partie de plaisir pour tous les ambitieux. En attendant, les jeunes leaders, quant à eux, ne laisseront pas l’année de grâce qui leur offerte.
BAKASSIEN
