La maîtresse du ministre n’est pas celle du fonctionnaire anodin. Elle habite en général un quartier chic de la capitale des affaires comme Marcory-Biétry, Cocody-Riviera ou encore les Vallons aux Deux-Plateaux. Un agent immobilier révèle que, dans ce type de quartier, le loyer pour la villa la moins coûteuse n’est pas loin des 2 millions de F Cfa par mois. En plus, la maîtresse du ministre roule carrosse. Selon la marque de voiture (Rav4, X5, Lexus, ou Touareg), le prix d’achat peut grimper jusqu’à 80 millions. Ensuite, il y a les frais d’entretien au quotidien à assurer comme les frais de carburant, les atours, les visites, etc. A cela s’ajoutent la pension alimentaire et les imprévus. Le plus souvent, la maîtresse du ministre adore passer ses week-ends et ses vacances en Europe. Elle est partie intégrante des membres de la délégation, lors des missions à l’étranger. Et les voyages ont aussi un coût.
Notons que ces maîtresses sont également embauchées à tour de bras. Un défunt ministre (paix à son âme) de l’époque des « jouisseurs » a même ouvert une grande ferme bien fournie en cheptel et volaille dans le Centre-ouest dédiée à la famille de son 2ème bureau.
Une maîtresse c’est une femme, mais surtout, toute une famille à entretenir. Et quand il y en a plusieurs, les projets vitaux du ministère sont fortement menacés ou perdent carrément pied. Alors, vigilance !
N.D
Notons que ces maîtresses sont également embauchées à tour de bras. Un défunt ministre (paix à son âme) de l’époque des « jouisseurs » a même ouvert une grande ferme bien fournie en cheptel et volaille dans le Centre-ouest dédiée à la famille de son 2ème bureau.
Une maîtresse c’est une femme, mais surtout, toute une famille à entretenir. Et quand il y en a plusieurs, les projets vitaux du ministère sont fortement menacés ou perdent carrément pied. Alors, vigilance !
N.D