La Rue Princesse n’est pas bondée que de grands espaces. Elle regorge aussi plein d’autres petits commerces. Tels les maquis et hôtels de petits standing, des couloirs de passe, le célèbre espace Bel air avec ses prostituées, des vendeurs et vendeuses de poissons, de viandes et de poulets à la braise, d’attiéké poissons fumés (APF). A ceux-là, s’ajoutent également les gérants de cabines téléphoniques, des tenants de tabliers de cigarettes, des vendeuses de fruits, d’œufs et de pain, des restaurants à ciel ouvert…Voilà le cocktail non exhaustif de plusieurs autres commerces qui pullulent les abords de la Rue et qui, malheureusement, ont connu les mêmes sorts liés à la crise postélectorale. Au total et selon nos investigations, les pertes subies par les opérateurs de la Rue Princesse, toutes tendances confondues, le temps de la crise, s’élèveraient à une bagatelle de 900 à 950 millions de francs. Difficile à supporter !
JC G
JC G