Pour la 2ème fois de rang, Yao Kouassi Gervais dit Gervinho a remporté le trophée du meilleur joueur ivoirien. Il s’est confié à nous au sortir de la cérémonie de recompense.
Elu pour la deuxième fois d’affilée meilleur footballeur ivoirien, mardi soir, à l’hôtel Pullman au Plateau, Gervinho a reçu son prix des mains du directeur de Sport-ivoire. Il a littéralement massacré la concurrence et dépasse largement Ya Konan Didier (2è), Yaya Touré (3è), Didier Drogba (4è) et Tioté Cheick (5è). Plus qu’heureux de cette autre distinction (après son prix de meilleur joueur africain de la Ligue 1 française, décerné par la radio RFI), l’attaquant de Lille, en partance pour Arsenal en Angleterre, a confié que le plus dur commence pour lui.
Vous commencez à être un habitué des podiums après votre sacre de l’an dernier…
C’est vrai. Je prends goût aux titres. C’est un réel plaisir d’être sur les podiums. Nous sommes nombreux et si le choix des sportifs ivoiriens s’est porté sur ma modeste personne, cela me comble de joie.
Avez-vous reçu des appels de félicitations de vos coéquipiers et amis ?
Je n’avais pas encore les résultats jusqu’à ce soir (Ndlr : mardi). Mais je suis certain de recevoir une pluie d’appels téléphoniques à partir de maintenant. J’avais des concurrents sérieux et j’avais quelques craintes mais tout s’est finalement bien passé. Dieu merci.
A qui dédiez-vous ce sacre ?
A Monsieur le maire (Ndlr : Traoré Ibrahima). Il m’a beaucoup soutenu et a contribué à ma réussite. J’aurais souhaité qu’il soit là. Toutes mes pensées vont vers lui.
Pensez-vous avoir livré votre saison la plus aboutie depuis 4 ans que vous évoluez en France ?
Le plus important était de me concentrer sur mes performances. Je n’avais jamais pensé rafler la Coupe de France et surtout le titre de champion de France. Lille visait l’une des cinq premières places. Dieu merci, nous avons fini champions. Personnellement, ç’a été ma meilleure saison en France. Je suis content d’avoir fait le boulot pour en arriver là.
Quels souvenirs quand vous quittez Lille ?
Je garde un bon souvenir du LOSC. J’ai fait quatre ans en France (Ndlr : 2 ans au Mans). Lille est le club où je me suis le plus épanoui. C’est le club qui m’a permis d’avoir tous mes titres. Je suis fier d’avoir joué à Lille et d’avoir côtoyé Rudi Garcia.
Pourquoi avez-vous choisi l’Angleterre pour la suite de votre carrière ?
Je vais en Angleterre car je veux progresser. Les joueurs qui sont là-bas et le coach me feront progresser encore. J’en suis sûr.
Propos recueillis par Guy-Florentin Yaméogo
Elu pour la deuxième fois d’affilée meilleur footballeur ivoirien, mardi soir, à l’hôtel Pullman au Plateau, Gervinho a reçu son prix des mains du directeur de Sport-ivoire. Il a littéralement massacré la concurrence et dépasse largement Ya Konan Didier (2è), Yaya Touré (3è), Didier Drogba (4è) et Tioté Cheick (5è). Plus qu’heureux de cette autre distinction (après son prix de meilleur joueur africain de la Ligue 1 française, décerné par la radio RFI), l’attaquant de Lille, en partance pour Arsenal en Angleterre, a confié que le plus dur commence pour lui.
Vous commencez à être un habitué des podiums après votre sacre de l’an dernier…
C’est vrai. Je prends goût aux titres. C’est un réel plaisir d’être sur les podiums. Nous sommes nombreux et si le choix des sportifs ivoiriens s’est porté sur ma modeste personne, cela me comble de joie.
Avez-vous reçu des appels de félicitations de vos coéquipiers et amis ?
Je n’avais pas encore les résultats jusqu’à ce soir (Ndlr : mardi). Mais je suis certain de recevoir une pluie d’appels téléphoniques à partir de maintenant. J’avais des concurrents sérieux et j’avais quelques craintes mais tout s’est finalement bien passé. Dieu merci.
A qui dédiez-vous ce sacre ?
A Monsieur le maire (Ndlr : Traoré Ibrahima). Il m’a beaucoup soutenu et a contribué à ma réussite. J’aurais souhaité qu’il soit là. Toutes mes pensées vont vers lui.
Pensez-vous avoir livré votre saison la plus aboutie depuis 4 ans que vous évoluez en France ?
Le plus important était de me concentrer sur mes performances. Je n’avais jamais pensé rafler la Coupe de France et surtout le titre de champion de France. Lille visait l’une des cinq premières places. Dieu merci, nous avons fini champions. Personnellement, ç’a été ma meilleure saison en France. Je suis content d’avoir fait le boulot pour en arriver là.
Quels souvenirs quand vous quittez Lille ?
Je garde un bon souvenir du LOSC. J’ai fait quatre ans en France (Ndlr : 2 ans au Mans). Lille est le club où je me suis le plus épanoui. C’est le club qui m’a permis d’avoir tous mes titres. Je suis fier d’avoir joué à Lille et d’avoir côtoyé Rudi Garcia.
Pourquoi avez-vous choisi l’Angleterre pour la suite de votre carrière ?
Je vais en Angleterre car je veux progresser. Les joueurs qui sont là-bas et le coach me feront progresser encore. J’en suis sûr.
Propos recueillis par Guy-Florentin Yaméogo