Qui est M e Aristide Choki qui tient à diriger la Fédération ivoirienne de Karaté ?
Je suis un pratiquant de karaté, plus précisément le Shotokan. Je suis Ceinture noire,
3e Dan. Je suis cadre, plus précisément dans une grande structure de la place. Je
m’ occupe de la gestion de la paie de cette structure. J’ annonce ma candidature à tout
le monde sportif ivoirien et plus particulièrement à tous les karatékas. Je suis candidat
au poste de président de la Fédération ivoirienne de Karaté et Disciplines associées
(Fikda).
Quelle motivation soutient votre candidature ?
Ma candidature se justifie par le fait que le karaté ivoirien a besoin de réunir tous ses «
enfants ». Certains pourraient penser que je sors du néant. Mais je tiens à dire qu’ il y a
longtemps que je suis dans le domaine. Je dis qu’ il faut quelqu’ un comme moi, qui ne
tourne pas dans l’ ancien cercle, pour donner du sang neuf au karaté ivoirien aux fins
de le faire avancer tant au plan national qu’ international.
Pourquoi avez-vous attendu maintenant pendant que, comme vous le dites, il y a
longtemps que vous militez au sein du karaté ivoirien ?
C’ est Dieu qui décide de tout, du moment pour faire telle ou telle chose. Je ne sais pas
pourquoi c’ est maintenant qu’ il m’ inspire. Mais je suis persuadé qu’ il me donnera les
moyens et la capacité nécessaires pour conduire la Fikda à bon port une fois élu.
Entretien réalisé par E. Djabia
Je suis un pratiquant de karaté, plus précisément le Shotokan. Je suis Ceinture noire,
3e Dan. Je suis cadre, plus précisément dans une grande structure de la place. Je
m’ occupe de la gestion de la paie de cette structure. J’ annonce ma candidature à tout
le monde sportif ivoirien et plus particulièrement à tous les karatékas. Je suis candidat
au poste de président de la Fédération ivoirienne de Karaté et Disciplines associées
(Fikda).
Quelle motivation soutient votre candidature ?
Ma candidature se justifie par le fait que le karaté ivoirien a besoin de réunir tous ses «
enfants ». Certains pourraient penser que je sors du néant. Mais je tiens à dire qu’ il y a
longtemps que je suis dans le domaine. Je dis qu’ il faut quelqu’ un comme moi, qui ne
tourne pas dans l’ ancien cercle, pour donner du sang neuf au karaté ivoirien aux fins
de le faire avancer tant au plan national qu’ international.
Pourquoi avez-vous attendu maintenant pendant que, comme vous le dites, il y a
longtemps que vous militez au sein du karaté ivoirien ?
C’ est Dieu qui décide de tout, du moment pour faire telle ou telle chose. Je ne sais pas
pourquoi c’ est maintenant qu’ il m’ inspire. Mais je suis persuadé qu’ il me donnera les
moyens et la capacité nécessaires pour conduire la Fikda à bon port une fois élu.
Entretien réalisé par E. Djabia
