Abidjan - Le Centre ivoirien de recherches économiques et sociales (CIRES) a organisé jeudi à son siège, à Cocody (Abidjan), un séminaire sur le thème ‘’Migration et transfert de ressources’’, en vue de proposer au gouvernement les résultats de ses études pour gérer les migrations.
Au dire du directeur du CIRES, Dr Diarra Ibrahim, l’objectif du séminaire est de faire en sorte que les recherches menées soient au service du développement.
‘’La conception du projet est financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI). Il est nécessaire de porter cela à la connaissance des autorités afin de mettre en place une politique en matière de migration’’, a-t-il noté. C’est pourquoi, il a lancé un appel au gouvernement pour le financement de certains projets de développement durable et pour lutter contre la pauvreté.
Plusieurs chercheurs et spécialistes dans le domaine économique et social y ont assisté. Les différentes communications ont montré que le taux d’émigration des Ivoiriens est passé de 0,8% à 5,4% de 2005 à 2010. Et le nombre des refugiés est estimé à plus de 160.000 enregistrés, la sous-région.
Il est ressorti des échanges que des politiques d’attrait et de facilitation des ressources issues de l’émigration devront être mises en œuvre pour accélérer l’effet positif attendu des transferts dans la lutte contre la pauvreté et les inégalités en Côte d’Ivoire. Les statistiques au plan mondial montrent que le cumul des transferts des migrations vers leur pays d’origine surpasse ces dernières années les aides publiques au développement.
(AIP)
Au dire du directeur du CIRES, Dr Diarra Ibrahim, l’objectif du séminaire est de faire en sorte que les recherches menées soient au service du développement.
‘’La conception du projet est financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI). Il est nécessaire de porter cela à la connaissance des autorités afin de mettre en place une politique en matière de migration’’, a-t-il noté. C’est pourquoi, il a lancé un appel au gouvernement pour le financement de certains projets de développement durable et pour lutter contre la pauvreté.
Plusieurs chercheurs et spécialistes dans le domaine économique et social y ont assisté. Les différentes communications ont montré que le taux d’émigration des Ivoiriens est passé de 0,8% à 5,4% de 2005 à 2010. Et le nombre des refugiés est estimé à plus de 160.000 enregistrés, la sous-région.
Il est ressorti des échanges que des politiques d’attrait et de facilitation des ressources issues de l’émigration devront être mises en œuvre pour accélérer l’effet positif attendu des transferts dans la lutte contre la pauvreté et les inégalités en Côte d’Ivoire. Les statistiques au plan mondial montrent que le cumul des transferts des migrations vers leur pays d’origine surpasse ces dernières années les aides publiques au développement.
(AIP)
