Le RDR, parti dont le leader a remporté l’élection présidentielle 2010 et le FPI dont le candidat a perdu cette même élection, ont des postures et sont dans des situations différentes. Le premier savoure, jusqu’à présent, sa victoire et il a raison. Tant le parcours a été long, éprouvant et jonché de pertes en vies humaines. La douleur, pendant ce parcours a été la compagne la plus présente aux côtés des militants de cette formation qui a pris ses quartiers sur les hauteurs de la lagune délimitant le quartier de Cocody. Plus la bataille a été rude plus grande est la joie. C’est dans la meilleure disposition d’esprit que cette formation qui vient de loin, prépare les prochaines échéances. Pour faire la lutte de la conquête du pouvoir, elle s’était dotée de certaines structures et s’était offerte des responsables. Nombre d’entre ceux-là, naturellement ont été appelés à des fonctions où ils sont davantage au service de l’Etat. Après la fête, le travail reprend. Il faut se réarmer pour les compétions à venir. Après la conquête du pouvoir il faut trouver les moyens de ne pas être trop envahissant dans la gestion du pouvoir public et en même temps, ne pas disparaître pour priver le président de la République d’un relai important dans l’opinion nationale et internationale. La formation politique logée à la rue Lepic se prépare à ces contraintes agréables.
De l’autre côté, son adversaire malheureux, le FPI, cherche également la meilleure formule pour survivre à sa défaite. Ce parti n’oublie pas que la défaite est toujours orpheline. Nombre de ses membres quitteront le navire pour aller voguer au gré des vagues d’autres eaux. Son souci, actuellement est de faire en sorte qu’il lui reste suffisamment d’énergie pour absorber des défections qui ne font que commencer. Aller sécher son linge du côté du soleil est le jeu favori de beaucoup de nos concitoyens. L’équation est donc plus compliquée pour ce parti dont le fondateur est retenu très loin d’Abidjan pour avoir refusé de respecter une règle élémentaire de la démocratie : la loi du grand nombre. Un refus qui est un véritable reniement ou un parricide. Le chef de la refondation ne se présentait-il pas comme un enfant des élections ? Hier le FPI riait à gorge déployée. Aujourd’hui, c’est au tour du RDR de verser des larmes de joie. Ainsi est faite l’histoire. Elle tourne comme une roue. Personne ne peut l’arrêter ou lui imposer une autre direction. Les socialistes à l’ivoirienne semblaient l’avoir oublié. Les républicains ne doivent pas l’ignorer
Trait d’esprit : Il a osé…. !
Dj Madou a changé de disque. C’était prévisible pour les naïfs. Dans ce club de sorciers. Il parlait trop. Pour le fils d’Azaguié. La refondation. Une grosse arnaque. Sacrilège ! Dans cette confrérie. La repentance n’est pas au rendez-vous. Il annonce « Liberté et Démocratie pour la République» (LIDER). Laideur ?
Coulibaly B.
De l’autre côté, son adversaire malheureux, le FPI, cherche également la meilleure formule pour survivre à sa défaite. Ce parti n’oublie pas que la défaite est toujours orpheline. Nombre de ses membres quitteront le navire pour aller voguer au gré des vagues d’autres eaux. Son souci, actuellement est de faire en sorte qu’il lui reste suffisamment d’énergie pour absorber des défections qui ne font que commencer. Aller sécher son linge du côté du soleil est le jeu favori de beaucoup de nos concitoyens. L’équation est donc plus compliquée pour ce parti dont le fondateur est retenu très loin d’Abidjan pour avoir refusé de respecter une règle élémentaire de la démocratie : la loi du grand nombre. Un refus qui est un véritable reniement ou un parricide. Le chef de la refondation ne se présentait-il pas comme un enfant des élections ? Hier le FPI riait à gorge déployée. Aujourd’hui, c’est au tour du RDR de verser des larmes de joie. Ainsi est faite l’histoire. Elle tourne comme une roue. Personne ne peut l’arrêter ou lui imposer une autre direction. Les socialistes à l’ivoirienne semblaient l’avoir oublié. Les républicains ne doivent pas l’ignorer
Trait d’esprit : Il a osé…. !
Dj Madou a changé de disque. C’était prévisible pour les naïfs. Dans ce club de sorciers. Il parlait trop. Pour le fils d’Azaguié. La refondation. Une grosse arnaque. Sacrilège ! Dans cette confrérie. La repentance n’est pas au rendez-vous. Il annonce « Liberté et Démocratie pour la République» (LIDER). Laideur ?
Coulibaly B.