A pratiquement deux mois des examens à grands tirages, saison 2010-2011, l’horizon pour son bon déroulement est sombre. Des rumeurs de boycott se font entendre.
Il y a de réels risques de perturbation des examens de fin d’année. Les enseignants et autres personnels du privé laïc veulent débrayer si rien n’est fait pour satisfaire leurs exigences. Ces derniers, demandent le règlement par l’Etat des manquements confirmés par l’audit de l’Union Européenne et des autres manquements, le solde de tout compte du dossier spécial dévaluation-Union Européenne, le paiement immédiat des frais d’écolage en souffrance au trésor, l’ouverture des négociations avec le patronat pour l’application des augmentations de salaires de 1994, 1995 1996 et 1998, la reprise des négociations sur la nouvelle Convention collective, l’application de l’Arrêté Ministériel n° 9503 du 14 août 2008 portant revalorisation des primes de transport, le remboursement des augmentations de salaire de 1996 à septembre 2010, le paiement des salaires des mois de mars et d’avril et la prise en compte et la garantie par l’État, pour la durée de la prorogation de l’année scolaire, de leurs charges salariales. Pour toutes ces revendications, les enseignants et autres personnels du privé laïc seront en grève « à compter du lundi 18 juillet 2011, les enseignants et autres personnels du privé laïc observeront un arrêt de travail de 72 heures. Puis une grève illimitée si les préoccupations demeurent insatisfaites au terme de cet arrêt de travail de 72 heures. Des sit-in et grèves de la faim seront tenus pendant la période de grève illimitée à la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique, au cabinet du Ministère de l’Education Nationale, à la Cathédrale Saint-Paul du Plateau, à la grande mosquée du plateau, à la Délégation de la Commission Européenne et dans les Préfectures, les Sous-préfectures, les communes de l’intérieur du pays », selon le contenu du deuxième préavis de grève adressé à Mme la ministre de l’Education Nationale, Kandia Camara. Le document en notre possession est signé par le Secrétaire général national du Syndicat National des Enseignants du Privé Laïc de Côte d’Ivoire (SYNEPLACI), Camara Oumar.
JULES CESAR
Il y a de réels risques de perturbation des examens de fin d’année. Les enseignants et autres personnels du privé laïc veulent débrayer si rien n’est fait pour satisfaire leurs exigences. Ces derniers, demandent le règlement par l’Etat des manquements confirmés par l’audit de l’Union Européenne et des autres manquements, le solde de tout compte du dossier spécial dévaluation-Union Européenne, le paiement immédiat des frais d’écolage en souffrance au trésor, l’ouverture des négociations avec le patronat pour l’application des augmentations de salaires de 1994, 1995 1996 et 1998, la reprise des négociations sur la nouvelle Convention collective, l’application de l’Arrêté Ministériel n° 9503 du 14 août 2008 portant revalorisation des primes de transport, le remboursement des augmentations de salaire de 1996 à septembre 2010, le paiement des salaires des mois de mars et d’avril et la prise en compte et la garantie par l’État, pour la durée de la prorogation de l’année scolaire, de leurs charges salariales. Pour toutes ces revendications, les enseignants et autres personnels du privé laïc seront en grève « à compter du lundi 18 juillet 2011, les enseignants et autres personnels du privé laïc observeront un arrêt de travail de 72 heures. Puis une grève illimitée si les préoccupations demeurent insatisfaites au terme de cet arrêt de travail de 72 heures. Des sit-in et grèves de la faim seront tenus pendant la période de grève illimitée à la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique, au cabinet du Ministère de l’Education Nationale, à la Cathédrale Saint-Paul du Plateau, à la grande mosquée du plateau, à la Délégation de la Commission Européenne et dans les Préfectures, les Sous-préfectures, les communes de l’intérieur du pays », selon le contenu du deuxième préavis de grève adressé à Mme la ministre de l’Education Nationale, Kandia Camara. Le document en notre possession est signé par le Secrétaire général national du Syndicat National des Enseignants du Privé Laïc de Côte d’Ivoire (SYNEPLACI), Camara Oumar.
JULES CESAR