Le FPI a-t-il un avenir en Côte d’Ivoire? Les avis sur la question sont divergents. Non pour certains, oui pour d’autres, qui estiment toutefois, qu’il va falloir beaucoup de temps à ce parti avant de revenir au premier plan.
Koffi Michel (Agent du tourisme) :
«Il faut que le FPI assume»
«Pour rebondir, il va falloir que le FPI assume ce qu’il a fait subir aux Ivoiriens, dans ce qu’il est convenu d’appeler la crise postélectorale. Sinon, les Ivoiriens sont remontés contre ce parti politique. Il va falloir du temps avant que le FPI soit accepté par les Ivoiriens. Pour moi, le FPI dans sa forme d’avant la crise n’a pas d’avenir sur l’échiquier politique national»
Traoré Yaya (Criminologue) :
«Le FPI n’a pas d’avenir en Côte d’Ivoire»
«Le FPI dans sa forme d’avant la crise, n’a pas d’avenir en Côte d’Ivoire. Mais, en tant que parti politique et étant donné que nous sommes dans un pays démocratique, les Ivoiriens se doivent de faire le procès du FPI. Après le procès et à l’issue d’un jugement équitable, on verra si le FPI doit exister ou pas. Mais, si on veut s’en tenir à sa forme originelle, le FPI ne peut pas exister»
Kouadio Jean Baptiste
(Contrôleur de produits agricoles) :
«Le FPI doit faire son mea-culpa».
«Comme tout parti politique, le FPI a un avenir. Mais avant, il faut que tous ceux qui incarnent ce parti se remettent en cause. Ils doivent faire leur bilan pour voir ce qui n’a pas marché et déterminer l’attitude à tenir pour remettre le parti sur les rails. En un mot, ils doivent faire leur mea-culpa. Le FPI au pouvoir, tout n’a pas été négatif. Il y a eu des défaillances qui ont fait que tout n’a pas baigné comme il se doit. Un parti politique est comme une personne qui à un moment de sa vie se remet en cause avant de prendre un nouvel envol. Si le FPI réussi cette métamorphose-là, il pourra revenir. J’en veux pour preuve le PDCI. A un moment ce parti était enterré, mais aujourd’hui grâce à une bonne politique, il est revenu au premier plan, puisque c’est son allié qui est au pouvoir aujourd’hui. Le FPI pourrait en faire de même».
Yao Anderson (Agent commercial) :
«Le FPI doit exister»
«Pour moi, le FPI doit exister. La Côte d’Ivoire appartient à toutes ses filles et fils. Chaque parti politique à une aspiration qui est la prise du pouvoir. Après avoir perdu le pouvoir, les militants du FPI doivent pouvoir se réorganiser pour espérer rebondir et apporter leur pierre à l’édification de la Côte d’Ivoire. Après un temps de difficultés, on peut se ressaisir et rebondir. C’est ce que je leur souhaite»
Rabé Marius (Etudiant) :
«Pour revenir, il faut parler de l’après-Gbagbo»
«Pour moi, le FPI peut avoir un avenir si ses leaders se donnent les moyens. Il faut très vite que les instances du parti se mettent au travail en organisant des réunions au niveau national, mais aussi au niveau local. Il faut que toutes les structures se mettent au travail et surtout parlent de l’après-Gbagbo. Gbagbo ne doit pas constituer un obstacle à la vie du FPI».
Youzan bi (En quête d’emploi):
«Le FPI peut avoir un avenir si…»
« Le FPI pour moi, peut avoir un avenir sur la scène politique nationale. Mais pour cela, il faut que ses militants s’inscrivent dans le processus de réconciliation nationale. Le FPI doit s’inscrire dans le processus de paix. Quand les gens vont commencer à se parler franchement, le FPI pourra revenir».
Pohognon (Stagiaire au CIAPOL):
«Le FPI pourra rebondir»
«Pour moi, le FPI a un avenir en Côte d’Ivoire, si ces militants sont partants pour la réconciliation. Si passé les moments difficiles, ses cadres se remettent au travail, le parti pourra rebondir»
Tra Bi Mandela (Agent commercial) :
«Il faut faire un trait sur le passé récent».
«Le FPI a un avenir en Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire est un pays démocratique. Ici en Côte d’Ivoire, nous avons eu difficilement le temps de nous entendre. Aujourd’hui, au moment où le Président de la République parle du vivre ensemble, il n’y a pas de raison que le FPI ne revienne pas sur la scène politique nationale. N’oublions pas que le FPI était à la base du retour du multipartisme en Côte d’Ivoire. Il faut faire un trait sur le passé récent de la Côte d’Ivoire. Tirant les leçons de la crise, on saura ce qu’il faut faire et ce qu’il faut proscrire». TL
Koffi Michel (Agent du tourisme) :
«Il faut que le FPI assume»
«Pour rebondir, il va falloir que le FPI assume ce qu’il a fait subir aux Ivoiriens, dans ce qu’il est convenu d’appeler la crise postélectorale. Sinon, les Ivoiriens sont remontés contre ce parti politique. Il va falloir du temps avant que le FPI soit accepté par les Ivoiriens. Pour moi, le FPI dans sa forme d’avant la crise n’a pas d’avenir sur l’échiquier politique national»
Traoré Yaya (Criminologue) :
«Le FPI n’a pas d’avenir en Côte d’Ivoire»
«Le FPI dans sa forme d’avant la crise, n’a pas d’avenir en Côte d’Ivoire. Mais, en tant que parti politique et étant donné que nous sommes dans un pays démocratique, les Ivoiriens se doivent de faire le procès du FPI. Après le procès et à l’issue d’un jugement équitable, on verra si le FPI doit exister ou pas. Mais, si on veut s’en tenir à sa forme originelle, le FPI ne peut pas exister»
Kouadio Jean Baptiste
(Contrôleur de produits agricoles) :
«Le FPI doit faire son mea-culpa».
«Comme tout parti politique, le FPI a un avenir. Mais avant, il faut que tous ceux qui incarnent ce parti se remettent en cause. Ils doivent faire leur bilan pour voir ce qui n’a pas marché et déterminer l’attitude à tenir pour remettre le parti sur les rails. En un mot, ils doivent faire leur mea-culpa. Le FPI au pouvoir, tout n’a pas été négatif. Il y a eu des défaillances qui ont fait que tout n’a pas baigné comme il se doit. Un parti politique est comme une personne qui à un moment de sa vie se remet en cause avant de prendre un nouvel envol. Si le FPI réussi cette métamorphose-là, il pourra revenir. J’en veux pour preuve le PDCI. A un moment ce parti était enterré, mais aujourd’hui grâce à une bonne politique, il est revenu au premier plan, puisque c’est son allié qui est au pouvoir aujourd’hui. Le FPI pourrait en faire de même».
Yao Anderson (Agent commercial) :
«Le FPI doit exister»
«Pour moi, le FPI doit exister. La Côte d’Ivoire appartient à toutes ses filles et fils. Chaque parti politique à une aspiration qui est la prise du pouvoir. Après avoir perdu le pouvoir, les militants du FPI doivent pouvoir se réorganiser pour espérer rebondir et apporter leur pierre à l’édification de la Côte d’Ivoire. Après un temps de difficultés, on peut se ressaisir et rebondir. C’est ce que je leur souhaite»
Rabé Marius (Etudiant) :
«Pour revenir, il faut parler de l’après-Gbagbo»
«Pour moi, le FPI peut avoir un avenir si ses leaders se donnent les moyens. Il faut très vite que les instances du parti se mettent au travail en organisant des réunions au niveau national, mais aussi au niveau local. Il faut que toutes les structures se mettent au travail et surtout parlent de l’après-Gbagbo. Gbagbo ne doit pas constituer un obstacle à la vie du FPI».
Youzan bi (En quête d’emploi):
«Le FPI peut avoir un avenir si…»
« Le FPI pour moi, peut avoir un avenir sur la scène politique nationale. Mais pour cela, il faut que ses militants s’inscrivent dans le processus de réconciliation nationale. Le FPI doit s’inscrire dans le processus de paix. Quand les gens vont commencer à se parler franchement, le FPI pourra revenir».
Pohognon (Stagiaire au CIAPOL):
«Le FPI pourra rebondir»
«Pour moi, le FPI a un avenir en Côte d’Ivoire, si ces militants sont partants pour la réconciliation. Si passé les moments difficiles, ses cadres se remettent au travail, le parti pourra rebondir»
Tra Bi Mandela (Agent commercial) :
«Il faut faire un trait sur le passé récent».
«Le FPI a un avenir en Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire est un pays démocratique. Ici en Côte d’Ivoire, nous avons eu difficilement le temps de nous entendre. Aujourd’hui, au moment où le Président de la République parle du vivre ensemble, il n’y a pas de raison que le FPI ne revienne pas sur la scène politique nationale. N’oublions pas que le FPI était à la base du retour du multipartisme en Côte d’Ivoire. Il faut faire un trait sur le passé récent de la Côte d’Ivoire. Tirant les leçons de la crise, on saura ce qu’il faut faire et ce qu’il faut proscrire». TL