La nouvelle est tombée le mardi 12 juillet 2011, tard dans la nuit. Alexandre Galley a tiré sa révérence des suites d’un arrêt cardiaque. Conduit à la clinique de l’Indénié, le dimanche 10 juillet 2011, Alexandre Galley, le patron de l’ex-Cora de Comstar, est resté dans un coma de deux jours, en dépit des soins intensifs administrés par ses médecins. Et le mardi 12 juillet à 19 heures, Alexandre Galley a rendu l’âme à l’âge de 55 ans. « Petit-frère, avec l’arrivée d’Alassane Ouattara au pouvoir, les choses vont changer. Rien ne sera plus comme avant. Ce changement de régime nous, donne beaucoup d’espoir, nous opérateurs économiques et je vais en profiter pour relancer mes affaires », a confié Alexandre Galley à l’un de ses proches, avec qui il a eu un entretien téléphonique, au sujet de son intention d’organiser une conférence publique à laquelle seraient conviés des journalistes de la presse nationale et internationale. Malheureusement, Alexandre Galley qui a tenu ces propos pleins d’espoir, ne savait pas qu’il avait rendez-vous avec la mort quelques jours plus tard. La famille est actuellement en concertation concernant le programme des obsèques. Les condoléances sont reçues au domicile du défunt, sis au 8ème étage de l’immeuble Atta au Plateau, sur le boulevard lagunaire.
>>>>>>>>Témoignages de…
Jean-Baptiste Golly, directeur de société et Lobbyiste :
«Alex devait passer pour qu’on mange ensemble»
« Alexandre Galley était un ami que j’ai connu pendant ses moments de gloire. Durant les moments difficiles, on se parlait, on se voyait. Quand j’ai appris sa mort, le mardi 12 juillet 2011, j’étais choqué et beaucoup peiné. Parce que le jeudi dernier, on était ensemble et on a longuement échangé. Le vendredi, Alex m’a appelé au téléphone, il voulait que mon cuisinier fasse une sauce qu’il apprécie beaucoup. Je lui ai dit qu’il n’y avait pas de problème, mais, puisque j’allais à l’aéroport chercher Alafé, un ami commun qui revenait de Paris, j’ai dit à Alex qu’à mon retour, je passerai le prendre chez lui. Hélas, après l’aéroport, on n’a pas pu se voir à cause d’un imprévu. Néanmoins, mon cuisinier a fait sa sauce préférée et à l’heure où je vous parle, cette sauce est toujours dans le frigo. Alex devait passer pour qu’on mange ensemble, mais le destin en a décidé autrement. La disparition d’Alex sera très difficile pour ses enfants et ses parents car il était l’espoir de toute une famille et sa région. Lui et moi avions des projets. Je suis attristé et c’est dommage, qu’un lobbyiste s’en soit allé si tôt, parce qu’il y a du chantier. La Côte d’Ivoire avait besoin de lui ».
Al Moustapha Touré, leader politique :
«Il a été dépossédé de sa société par le régime Gbagbo »
« Alexandre Galley est un Ivoirien qui s’est beaucoup battu pour récupérer sa société. Il a été injustement dépossédé de celle-ci par l’ancien régime de Laurent Gbagbo. Il s’est battu, mais il n’a pu bénéficier d’un quelconque soutien et il part… Paix à son âme ».
Patrice Pohé, Président de la Conférence nationale des directeurs de publication de Côte d’Ivoire (CNDP-CI) :
«Ce que Galley m’a confié concernant le Président de la République, Alassane Ouattara»
«Alexandre Galley était pour moi, un grand frère. Notre dernière rencontre remonte à trois semaines. Ce jour-là, je l’ai trouvé affaibli mais très enthousiaste. Lorsqu’il me confiait : « petit-frère, avec l’avènement d’Alassane Ouattara, les opprimés que nous sommes, ceux qui ont subi l’injustice comme lui, vont relever enfin, la tête de l’eau.» Il me dira par la suite, qu’il va tout faire pour reprendre le contrôle de sa société de téléphonie mobile ‘‘Comstar’’. Le grand-frère est parti sans réaliser son grand rêve. Ce grand homme est parti avec ses convictions et ses ambitions de gagneur. Il n’a jamais accepté cette ‘‘défaite’’ à lui imposée dans les méandres juridicopolitique dans l’affaire Comstar ».
Connectionivoirienne.net, site d’informations générales :
« Alexandre Galley travaillait avec notre site »
«Alexandre Galley, avec lequel la Rédaction de Connectionivoirienne.net était en contact régulier depuis plusieurs années, travaillait ces derniers mois sur le dossier CORA de Comstar, ou comment rentrer dans « ses » droits (récupérer sa licence de Téléphonie Mobile) spoliés selon lui, par l’ancien pouvoir de Laurent Gbagbo. Alexandre Galley s’apprêtait aussi, à se porter candidat à la députation à Lakota. La grande débauche d’énergie lui a-t-elle été fatale ? Nous ne le saurons peut-être jamais. Récemment, il nous disait encore : «Je ne veux pas subir le sort de Koffi Bergson, ils veulent me tuer parce que je sais beaucoup sur eux tous et je veux que les hommes d’affaires ivoiriens prospèrent avant tout, mais je ne vais pas me laisser faire, Frère .C’est moi, le Souverain Commandeur qui te parle ». (NDLR : Membre de loges maçonniques, ‘’Degall’’ entretenait ses réseaux)
O. Dion et Joël T
>>>>>>>>Témoignages de…
Jean-Baptiste Golly, directeur de société et Lobbyiste :
«Alex devait passer pour qu’on mange ensemble»
« Alexandre Galley était un ami que j’ai connu pendant ses moments de gloire. Durant les moments difficiles, on se parlait, on se voyait. Quand j’ai appris sa mort, le mardi 12 juillet 2011, j’étais choqué et beaucoup peiné. Parce que le jeudi dernier, on était ensemble et on a longuement échangé. Le vendredi, Alex m’a appelé au téléphone, il voulait que mon cuisinier fasse une sauce qu’il apprécie beaucoup. Je lui ai dit qu’il n’y avait pas de problème, mais, puisque j’allais à l’aéroport chercher Alafé, un ami commun qui revenait de Paris, j’ai dit à Alex qu’à mon retour, je passerai le prendre chez lui. Hélas, après l’aéroport, on n’a pas pu se voir à cause d’un imprévu. Néanmoins, mon cuisinier a fait sa sauce préférée et à l’heure où je vous parle, cette sauce est toujours dans le frigo. Alex devait passer pour qu’on mange ensemble, mais le destin en a décidé autrement. La disparition d’Alex sera très difficile pour ses enfants et ses parents car il était l’espoir de toute une famille et sa région. Lui et moi avions des projets. Je suis attristé et c’est dommage, qu’un lobbyiste s’en soit allé si tôt, parce qu’il y a du chantier. La Côte d’Ivoire avait besoin de lui ».
Al Moustapha Touré, leader politique :
«Il a été dépossédé de sa société par le régime Gbagbo »
« Alexandre Galley est un Ivoirien qui s’est beaucoup battu pour récupérer sa société. Il a été injustement dépossédé de celle-ci par l’ancien régime de Laurent Gbagbo. Il s’est battu, mais il n’a pu bénéficier d’un quelconque soutien et il part… Paix à son âme ».
Patrice Pohé, Président de la Conférence nationale des directeurs de publication de Côte d’Ivoire (CNDP-CI) :
«Ce que Galley m’a confié concernant le Président de la République, Alassane Ouattara»
«Alexandre Galley était pour moi, un grand frère. Notre dernière rencontre remonte à trois semaines. Ce jour-là, je l’ai trouvé affaibli mais très enthousiaste. Lorsqu’il me confiait : « petit-frère, avec l’avènement d’Alassane Ouattara, les opprimés que nous sommes, ceux qui ont subi l’injustice comme lui, vont relever enfin, la tête de l’eau.» Il me dira par la suite, qu’il va tout faire pour reprendre le contrôle de sa société de téléphonie mobile ‘‘Comstar’’. Le grand-frère est parti sans réaliser son grand rêve. Ce grand homme est parti avec ses convictions et ses ambitions de gagneur. Il n’a jamais accepté cette ‘‘défaite’’ à lui imposée dans les méandres juridicopolitique dans l’affaire Comstar ».
Connectionivoirienne.net, site d’informations générales :
« Alexandre Galley travaillait avec notre site »
«Alexandre Galley, avec lequel la Rédaction de Connectionivoirienne.net était en contact régulier depuis plusieurs années, travaillait ces derniers mois sur le dossier CORA de Comstar, ou comment rentrer dans « ses » droits (récupérer sa licence de Téléphonie Mobile) spoliés selon lui, par l’ancien pouvoir de Laurent Gbagbo. Alexandre Galley s’apprêtait aussi, à se porter candidat à la députation à Lakota. La grande débauche d’énergie lui a-t-elle été fatale ? Nous ne le saurons peut-être jamais. Récemment, il nous disait encore : «Je ne veux pas subir le sort de Koffi Bergson, ils veulent me tuer parce que je sais beaucoup sur eux tous et je veux que les hommes d’affaires ivoiriens prospèrent avant tout, mais je ne vais pas me laisser faire, Frère .C’est moi, le Souverain Commandeur qui te parle ». (NDLR : Membre de loges maçonniques, ‘’Degall’’ entretenait ses réseaux)
O. Dion et Joël T