Le ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Bruno Nabagné Koné, a eu une séance de travail avec l’UNETEL (Union Nationale des Entreprises de Télécommunication) le lundi 11 juillet 2011, à son Cabinet, sis au 21ème étage de l’Immeuble Postel 2001 au Plateau.
Il a réitéré la compassion de l’Etat et sa disposition à aider toutes les entreprises pour une reprise rapide des activités économiques. Il en veut pour preuve, les avantages fiscaux accordés par l’annexe fiscale 2011, pour leur permettre de compenser au moins en partie, les pertes subies. Il les a enfin, rassuré de sa disponibilité à travailler avec eux sur toutes les questions soulevées dans l’intérêt supérieur des opérateurs de la téléphonie et de la nation ivoirienne. Avant lui, Michel Loukou, PCA de l’Unetel, a au nom de l’Union, égrené une des préoccupations. « Le secteur des télécommunications a été l’un des plus sinistrés de la crise postélectorale « avec une perte cumulée de plus de 100 milliards de francs CFA », a-t-il déploré. Et d’ajouter la forte pression fiscale exercée sur eux malgré cette situation. Aussi, a-t-il a suggéré, l’élaboration rapide d’une politique générale de l’Etat, permettant un développement harmonieux du secteur, une politique de formation des cadres pour assurer la relève de l’expertise et la question de l’identification des abonnés des services de téléphonie. Poursuivant, Les opérateurs ont souhaité que l’Etat engage les réformes nécessaires. Toute chose, qui permettra aux ressources logées au FNT (Fonds National des Télécommunications) servant au développement du secteur des TIC au profit des populations et la mise en place d’un cadre juridique cohérent en harmonie avec les évolutions technologiques et les textes communautaires CEDEAO et UEMOA.
A.K
Il a réitéré la compassion de l’Etat et sa disposition à aider toutes les entreprises pour une reprise rapide des activités économiques. Il en veut pour preuve, les avantages fiscaux accordés par l’annexe fiscale 2011, pour leur permettre de compenser au moins en partie, les pertes subies. Il les a enfin, rassuré de sa disponibilité à travailler avec eux sur toutes les questions soulevées dans l’intérêt supérieur des opérateurs de la téléphonie et de la nation ivoirienne. Avant lui, Michel Loukou, PCA de l’Unetel, a au nom de l’Union, égrené une des préoccupations. « Le secteur des télécommunications a été l’un des plus sinistrés de la crise postélectorale « avec une perte cumulée de plus de 100 milliards de francs CFA », a-t-il déploré. Et d’ajouter la forte pression fiscale exercée sur eux malgré cette situation. Aussi, a-t-il a suggéré, l’élaboration rapide d’une politique générale de l’Etat, permettant un développement harmonieux du secteur, une politique de formation des cadres pour assurer la relève de l’expertise et la question de l’identification des abonnés des services de téléphonie. Poursuivant, Les opérateurs ont souhaité que l’Etat engage les réformes nécessaires. Toute chose, qui permettra aux ressources logées au FNT (Fonds National des Télécommunications) servant au développement du secteur des TIC au profit des populations et la mise en place d’un cadre juridique cohérent en harmonie avec les évolutions technologiques et les textes communautaires CEDEAO et UEMOA.
A.K