Abidjan - Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (TIC), Bruno Nabagné Koné a rassuré lundi, lors d’une séance de travail avec l’Union nationale des entreprises de télécommunication (UNETEL), que l’Etat ivoirien sera à leurs côtés dans la relance de leurs activités.
A cette occasion, le ministre a réitéré la compassion de l’Etat et la disposition du gouvernement à aider toutes les entreprises pour une reprise rapide des activités économiques. Il en veut pour preuves les allègements fiscaux accordés par l’annexe fiscale 2011 aux entreprises sinistrées durant la crise postélectorale, pour leur permettre de compenser un tant soit peu, les lourdes pertes subies.
La délégation de l’UNETEL, conduite par son PCA, Loukou K. Michel, a auparavant égrené à la tutelle un chapelet de préoccupations et de suggestions. En effet, le secteur des télécommunications a été l’un des plus sinistrés de la crise post électorale « avec une perte cumulée de plus de 100 milliards de francs CFA ». A cela, s’ajoute la trop forte pression fiscale exercée sur eux malgré cette situation.
Aussi, l’UNETEL a-t-elle souhaité l’élaboration rapide d’une politique générale de l’Etat, permettant un développement harmonieux du secteur, notamment une politique efficace de formation des cadres pour assurer la relève de l’expertise au niveau du secteur et la question de l’identification des abonnés des services de téléphonie.
Les opérateurs ont également souhaité que l’Etat engage les reformes nécessaires pour permettre que les ressources logées au Fonds national des télécommunications (FNT) servent effectivement au développement du secteur au profit des populations et la mise en place d’un cadre juridique cohérent en harmonie avec les évolutions technologiques et les textes communautaires (CEDEAO et UEMOA).
(AIP)
A cette occasion, le ministre a réitéré la compassion de l’Etat et la disposition du gouvernement à aider toutes les entreprises pour une reprise rapide des activités économiques. Il en veut pour preuves les allègements fiscaux accordés par l’annexe fiscale 2011 aux entreprises sinistrées durant la crise postélectorale, pour leur permettre de compenser un tant soit peu, les lourdes pertes subies.
La délégation de l’UNETEL, conduite par son PCA, Loukou K. Michel, a auparavant égrené à la tutelle un chapelet de préoccupations et de suggestions. En effet, le secteur des télécommunications a été l’un des plus sinistrés de la crise post électorale « avec une perte cumulée de plus de 100 milliards de francs CFA ». A cela, s’ajoute la trop forte pression fiscale exercée sur eux malgré cette situation.
Aussi, l’UNETEL a-t-elle souhaité l’élaboration rapide d’une politique générale de l’Etat, permettant un développement harmonieux du secteur, notamment une politique efficace de formation des cadres pour assurer la relève de l’expertise au niveau du secteur et la question de l’identification des abonnés des services de téléphonie.
Les opérateurs ont également souhaité que l’Etat engage les reformes nécessaires pour permettre que les ressources logées au Fonds national des télécommunications (FNT) servent effectivement au développement du secteur au profit des populations et la mise en place d’un cadre juridique cohérent en harmonie avec les évolutions technologiques et les textes communautaires (CEDEAO et UEMOA).
(AIP)