Cent médecins, infirmiers et sages-femmes issus des hôpitaux et centres de santé du district sanitaire d’Adzopé se retrouvent depuis mardi Adzopé, dans le cadre d’un atelier de formation sur les techniques de lutte contre la rage et sur les nouvelles méthodes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Initié par le ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, à travers l’Institut national d’hygiène publique (INHP), avec la collaboration de l’Institut Pasteur, cet atelier de formation vise à renforcer la capacité des équipes du district sanitaire sur la prise en charge des cas de morsures par des animaux domestiques atteintes de rage à travers les nouvelles méthodes de lutte adoptées par l’OMS.
Cette rencontre a également pour objet de reconnaître un cas d’exposition à la rage, d’en administrer un traitement local tout en pratiquant les protocoles de PPE.
Selon Pr Tiembré Issiaka, Dr Elia Aka Gilbernair et Adjogoua Edgard, formateurs issus de l’INHP et de Sanofi Pasteur, l’atelier consiste également à citer trois arguments épidémiologiques en faveur d’une rage humaine, en citer trois signes cliniques et donner un délai de notification des cas de rage déclarés.
Deux mille cas de morsures ont été enregistrés au premier semestre de l’année 2011 en Côte d’Ivoire, dont le département d’Adzopé qui est considéré comme une zone à risque de morsures. L’organisation mondiale de la santé évalue à 2 pour100.000, le taux de décès dû à la rage dans les zones urbaines et 3,6 pour 100.000 en zone rurale en Afrique.
A l’ouverture de l’atelier, le directeur départemental de la Santé d’Adzopé, Ouattara Seïdou, a invité les séminaristes à mettre à profit cette formation, afin d’adopter des stratégies de communication sur les avantages de la vaccination préventive et le protocole de vaccination préventive.
Cet atelier prend fin ce jeudi, indique-t-on.
(AIP)
Go/kp
Initié par le ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, à travers l’Institut national d’hygiène publique (INHP), avec la collaboration de l’Institut Pasteur, cet atelier de formation vise à renforcer la capacité des équipes du district sanitaire sur la prise en charge des cas de morsures par des animaux domestiques atteintes de rage à travers les nouvelles méthodes de lutte adoptées par l’OMS.
Cette rencontre a également pour objet de reconnaître un cas d’exposition à la rage, d’en administrer un traitement local tout en pratiquant les protocoles de PPE.
Selon Pr Tiembré Issiaka, Dr Elia Aka Gilbernair et Adjogoua Edgard, formateurs issus de l’INHP et de Sanofi Pasteur, l’atelier consiste également à citer trois arguments épidémiologiques en faveur d’une rage humaine, en citer trois signes cliniques et donner un délai de notification des cas de rage déclarés.
Deux mille cas de morsures ont été enregistrés au premier semestre de l’année 2011 en Côte d’Ivoire, dont le département d’Adzopé qui est considéré comme une zone à risque de morsures. L’organisation mondiale de la santé évalue à 2 pour100.000, le taux de décès dû à la rage dans les zones urbaines et 3,6 pour 100.000 en zone rurale en Afrique.
A l’ouverture de l’atelier, le directeur départemental de la Santé d’Adzopé, Ouattara Seïdou, a invité les séminaristes à mettre à profit cette formation, afin d’adopter des stratégies de communication sur les avantages de la vaccination préventive et le protocole de vaccination préventive.
Cet atelier prend fin ce jeudi, indique-t-on.
(AIP)
Go/kp