L’ancien président du club vert et rouge dément être à la base de la dernière grève des joueurs et affirme que l’Africa Sports reste un panier à crabes.
l Récemment, il y a eu une petite polémique après la grève des joueurs de l’Africa Sports…
(Il paraît très étonné…)
l Vous avez été indexé comme étant l’un des instigateurs de cette grève. Vrai ou faux ?
J’ai effectivement appris cela. Mais je ne me vois pas en train de déstabiliser l’Africa Sports. Le problème du club est tellement sérieux qu’il n’est pas bon de le traiter comme cela dans la presse.
l Avez-vous été surpris par ces attaques ?
Depuis 15 ou 20 ans que je suis à l’Africa, je n’ai jamais été épargné par les méchancetés. Aujourd’hui, je suis immunisé et, comme j’aime le club, j’oublie cela pour aller de l’avant.
l Comment avez-vous vécu cette grève des joueurs de l’Africa, il y a quelques semaines ?
Elle a été passagère. Cela arrive lorsque les dirigeants n’arrivent pas à payer les primes ou les salaires. Même au temps du président Simplice Zinsou, cela a existé. C’est le quotidien du club. Ces grèves, il faut savoir les gérer.
l Comment sont vos rapports avec l’actuel président intérimaire de l’Africa Sports, Eric Tiacoh ?
Eric Tiacoh ? S’il parle de l’Africa Sports aujourd’hui, c’est grâce à moi. Je me souviens que c’est feu Traoré Brahima dit « Monsieur le Maire » qui me l’a présenté. Et, c’est après cela qu’il a intégré le comité directeur que je dirigeais. C’est un peu comme mon fils et, il ne peut pas avoir de problèmes entre nous. Les gens parlent de ce qu’ils ne savent pas.
l Beaucoup de personnes pensent qu’il n’a pas le charisme pour diriger l’Africa Sports. Qu’en pensez-vous ?
Je ne sais pas… Les candidatures au poste de président de l’Africa Sports ne sont pas encore ouvertes. Si Eric Tiacoh
est bien encadré, bien guidé, pourquoi pas ? L’Africa Sports est un vrai panier à crabes et je crains qu’il ne soit victime de méchancetés.
l Serez-vous candidat aux prochaines élections à l’Africa ? N’avez-vous pas envie de revenir ?
Je ne sais pas. Pour le moment, je cherche à voir comment le club peut avancer. Et, sachez que je n’ai pas besoin d’être président pour aider le club.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
l Récemment, il y a eu une petite polémique après la grève des joueurs de l’Africa Sports…
(Il paraît très étonné…)
l Vous avez été indexé comme étant l’un des instigateurs de cette grève. Vrai ou faux ?
J’ai effectivement appris cela. Mais je ne me vois pas en train de déstabiliser l’Africa Sports. Le problème du club est tellement sérieux qu’il n’est pas bon de le traiter comme cela dans la presse.
l Avez-vous été surpris par ces attaques ?
Depuis 15 ou 20 ans que je suis à l’Africa, je n’ai jamais été épargné par les méchancetés. Aujourd’hui, je suis immunisé et, comme j’aime le club, j’oublie cela pour aller de l’avant.
l Comment avez-vous vécu cette grève des joueurs de l’Africa, il y a quelques semaines ?
Elle a été passagère. Cela arrive lorsque les dirigeants n’arrivent pas à payer les primes ou les salaires. Même au temps du président Simplice Zinsou, cela a existé. C’est le quotidien du club. Ces grèves, il faut savoir les gérer.
l Comment sont vos rapports avec l’actuel président intérimaire de l’Africa Sports, Eric Tiacoh ?
Eric Tiacoh ? S’il parle de l’Africa Sports aujourd’hui, c’est grâce à moi. Je me souviens que c’est feu Traoré Brahima dit « Monsieur le Maire » qui me l’a présenté. Et, c’est après cela qu’il a intégré le comité directeur que je dirigeais. C’est un peu comme mon fils et, il ne peut pas avoir de problèmes entre nous. Les gens parlent de ce qu’ils ne savent pas.
l Beaucoup de personnes pensent qu’il n’a pas le charisme pour diriger l’Africa Sports. Qu’en pensez-vous ?
Je ne sais pas… Les candidatures au poste de président de l’Africa Sports ne sont pas encore ouvertes. Si Eric Tiacoh
est bien encadré, bien guidé, pourquoi pas ? L’Africa Sports est un vrai panier à crabes et je crains qu’il ne soit victime de méchancetés.
l Serez-vous candidat aux prochaines élections à l’Africa ? N’avez-vous pas envie de revenir ?
Je ne sais pas. Pour le moment, je cherche à voir comment le club peut avancer. Et, sachez que je n’ai pas besoin d’être président pour aider le club.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo