Annoncés à la présidence de la Fédération ivoirienne de football, Jacques Anouma et Dieng Ousseynou ne sont pas candidats. Les deux hommes ont conjointement animé une conférence de presse hier, au siège de la fédé, pour donner la nouvelle « jumelle ».
Jacques Anouma, jusque-là, n’avait pas encore annoncé officiellement sa candidature pour un troisième mandat à la tête de la Fédération ivoirienne de football. Il ne le fera plus. Il ne va pas briguer un autre mandat. De même Dieng Ousseynou, président d’honneur de la FIF, qui songeait fort à un retour aux affaires à la maison de verre de Treichville. Lui non plus n’est plus candidat. Les deux hommes ont annoncé leur retrait à la course au poste de président de la fédé hier une conférence de presse qu’ils ont animée concomitamment au siège de l’instance fédérale à Treichville. « J’ai tenu à vous rencontrer en présence de Dieng Ousseynou après plusieurs entretiens que nous avons eus lui et moi. Nous avons décidé de nous adresser à vous pour vous informer officiellement que nous ne sommes pas candidats aux prochaines élections à la présidence de la FIF. Pour arrêter toute supputation, tous ceux qui sont intéressés peuvent venir se présenter, les candidatures étant ouvertes. Mais dans cette élection, sachez que nous aurons notre mot à dire. Nous avons informé le bureau de la Conférence des présidents. Après 9 ans, je pense avoir fait mon travail et mon devoir. Je m’étais fixé un délai qui est arrivé. Je pourrai me consacrer à mes tâches continentale et internationale », souligne Anouma. Dieng Ousseynou n’a pas autre chose que le président de la FIF. « Comme l’a dit le président de la FIF, nous avons décidé, après concertation, de ne pas être candidats à la prochaine élection du président de la Fédération. Parce que nous avons estimé que nous avons apporté ce que nous pouvions au football ivoirien et qu’il est que nous puissions céder le fauteuil à quelqu’un de plus jeune. Qui pourra venir avec de nouvelles idées pour essayer d’apporter sa pierre à la construction du football ivoirien. C’est une décision que nous avons prise après mille réflexions. Nous nous sommes dit que nous avons connu des moments difficiles en 1998. Et en tant que personnes responsables et majeures, vu les déchirements que la Côte d’Ivoire de connaître, il n’est pas utile qu’on en rajoute que nous en rajoutions. C’est pour cela que nous avons décidé de ne pas être candidat et de faire en sorte que ces élections se passent de la meilleure manière possible ». C’est donc clair. Les élections à la FIF se déroulement sans ceux qui étaient considérés comme les gros bras. Le chemin est désormais déblayé pour les candidats qui hésitaient encore. Car jusqu’à hier après midi, personne n’avait encore fait acte de candidature. Jacques Anouma va quitter la FIF après les élections. Pas le football. Car il demeure président de club(AFAD) et dans les instances internationales notamment la CAF et la FIFA.
Tibet Kipré
Jacques Anouma, jusque-là, n’avait pas encore annoncé officiellement sa candidature pour un troisième mandat à la tête de la Fédération ivoirienne de football. Il ne le fera plus. Il ne va pas briguer un autre mandat. De même Dieng Ousseynou, président d’honneur de la FIF, qui songeait fort à un retour aux affaires à la maison de verre de Treichville. Lui non plus n’est plus candidat. Les deux hommes ont annoncé leur retrait à la course au poste de président de la fédé hier une conférence de presse qu’ils ont animée concomitamment au siège de l’instance fédérale à Treichville. « J’ai tenu à vous rencontrer en présence de Dieng Ousseynou après plusieurs entretiens que nous avons eus lui et moi. Nous avons décidé de nous adresser à vous pour vous informer officiellement que nous ne sommes pas candidats aux prochaines élections à la présidence de la FIF. Pour arrêter toute supputation, tous ceux qui sont intéressés peuvent venir se présenter, les candidatures étant ouvertes. Mais dans cette élection, sachez que nous aurons notre mot à dire. Nous avons informé le bureau de la Conférence des présidents. Après 9 ans, je pense avoir fait mon travail et mon devoir. Je m’étais fixé un délai qui est arrivé. Je pourrai me consacrer à mes tâches continentale et internationale », souligne Anouma. Dieng Ousseynou n’a pas autre chose que le président de la FIF. « Comme l’a dit le président de la FIF, nous avons décidé, après concertation, de ne pas être candidats à la prochaine élection du président de la Fédération. Parce que nous avons estimé que nous avons apporté ce que nous pouvions au football ivoirien et qu’il est que nous puissions céder le fauteuil à quelqu’un de plus jeune. Qui pourra venir avec de nouvelles idées pour essayer d’apporter sa pierre à la construction du football ivoirien. C’est une décision que nous avons prise après mille réflexions. Nous nous sommes dit que nous avons connu des moments difficiles en 1998. Et en tant que personnes responsables et majeures, vu les déchirements que la Côte d’Ivoire de connaître, il n’est pas utile qu’on en rajoute que nous en rajoutions. C’est pour cela que nous avons décidé de ne pas être candidat et de faire en sorte que ces élections se passent de la meilleure manière possible ». C’est donc clair. Les élections à la FIF se déroulement sans ceux qui étaient considérés comme les gros bras. Le chemin est désormais déblayé pour les candidats qui hésitaient encore. Car jusqu’à hier après midi, personne n’avait encore fait acte de candidature. Jacques Anouma va quitter la FIF après les élections. Pas le football. Car il demeure président de club(AFAD) et dans les instances internationales notamment la CAF et la FIFA.
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