Des milliers de familles victimes de la crise post-électorale, qui ont fait un retour volontaire dans leurs foyers respectifs ont bénéficié d’une assistance en vivres et non vivres par la Croix rouge de Côte d’Ivoire.
91 ménages du département de Toulepleu ont bénéficié de la Croix Rouge de Côte d’Ivoire, le samedi 16 juillet 2011, des dons en vivres et non vivres. Il s’agit de 8 000 abris, 12 000 mille pièces de pagne, 12 000 nattes, 4 000 kits d’hygiène et de cuisine, 4 000 bassines, 2 605 jerricanes, 8 000 paires de bottes et 8 000 moustiquaires imprégnées. En effet, cette opération d’assistance aux victimes de la crise post-électorale concerne 4 000 familles des localités de Bloléquin et de Toulepleu, à l’Ouest de la Cote d’Ivoire. Selon les explications de M. Wadja, chef de base de l’opération assistance des victimes à Toulepleu, cette opération va se poursuivre pendant une période d’un an. Mais pour l’instant, a-t-il poursuivi, le lancement ne concerne que 1 000 familles qui ont volontairement quitté les camps des réfugiés pour regagner leurs domiciles. Pour mener à bien cette opération d’assistance aux victimes de la crise post-électorale, une évaluation basée sur quatre critères a été faite. Il s’agit tout d’abord d’identifier et de recenser les zones les plus sinistrées, ensuite de déterminer les zones non assistées par les partenaires, puis parvenir à atteindre les zones éloignées et difficiles d’accès, et enfin arriver à combler le déficit en aide des zones à risque par une meilleure couverture de cette assistance. Pour M. Monhiro Pehe Roger, Président du comité local de la Croix rouge de Côte d’Ivoire, les 60 villages du département de Toulepleu ont tous été recensés afin de pouvoir bénéficier de cette assistance. Quant au préfet du département de Toulepleu, il a encouragé la Croix rouge de Cote d’Ivoire, à renforcer et surtout à augmenter l’assistance en vivres et en non vivres pour un retour décent des populations victimes de cette crise post-électorale, dans leurs foyers. Faut-il noter que, pour arriver à réaliser cette opération humanitaire, de nombreuses organisations non gouvernementales telles que la société nationale de la croix rouge de Côte d’Ivoire, la fédération internationale des sociétés de la croix rouge et du croissant rouge et les sociétés nationales sœurs de Suisse et d’Espagne, ont apporté leurs soutiens financier et technique aux localités de Bloléquin et de Toulepleu.
Jean-Baptiste Essis
Jean.essis@gmail.com
91 ménages du département de Toulepleu ont bénéficié de la Croix Rouge de Côte d’Ivoire, le samedi 16 juillet 2011, des dons en vivres et non vivres. Il s’agit de 8 000 abris, 12 000 mille pièces de pagne, 12 000 nattes, 4 000 kits d’hygiène et de cuisine, 4 000 bassines, 2 605 jerricanes, 8 000 paires de bottes et 8 000 moustiquaires imprégnées. En effet, cette opération d’assistance aux victimes de la crise post-électorale concerne 4 000 familles des localités de Bloléquin et de Toulepleu, à l’Ouest de la Cote d’Ivoire. Selon les explications de M. Wadja, chef de base de l’opération assistance des victimes à Toulepleu, cette opération va se poursuivre pendant une période d’un an. Mais pour l’instant, a-t-il poursuivi, le lancement ne concerne que 1 000 familles qui ont volontairement quitté les camps des réfugiés pour regagner leurs domiciles. Pour mener à bien cette opération d’assistance aux victimes de la crise post-électorale, une évaluation basée sur quatre critères a été faite. Il s’agit tout d’abord d’identifier et de recenser les zones les plus sinistrées, ensuite de déterminer les zones non assistées par les partenaires, puis parvenir à atteindre les zones éloignées et difficiles d’accès, et enfin arriver à combler le déficit en aide des zones à risque par une meilleure couverture de cette assistance. Pour M. Monhiro Pehe Roger, Président du comité local de la Croix rouge de Côte d’Ivoire, les 60 villages du département de Toulepleu ont tous été recensés afin de pouvoir bénéficier de cette assistance. Quant au préfet du département de Toulepleu, il a encouragé la Croix rouge de Cote d’Ivoire, à renforcer et surtout à augmenter l’assistance en vivres et en non vivres pour un retour décent des populations victimes de cette crise post-électorale, dans leurs foyers. Faut-il noter que, pour arriver à réaliser cette opération humanitaire, de nombreuses organisations non gouvernementales telles que la société nationale de la croix rouge de Côte d’Ivoire, la fédération internationale des sociétés de la croix rouge et du croissant rouge et les sociétés nationales sœurs de Suisse et d’Espagne, ont apporté leurs soutiens financier et technique aux localités de Bloléquin et de Toulepleu.
Jean-Baptiste Essis
Jean.essis@gmail.com
