Le groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) veut apporter sa pierre à la reconstruction post-crise du pays. Il offrira, à la fin du mois, une tribune d’échanges entre un acteur-clé de la politique nationale et les journalistes.
Offrir une plate-forme incontournable d’échanges autour des grandes questions de développement et de reconstruction du pays. C’est l’objectif du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), qui lancera une tribune de débats à partir du 28 juillet prochain, à l’espace Cristal à Marcory. Au cours d’une conférence de presse, hier, au siège de l’association des patrons de presse à Adjamé, Dénis Kah Zion, président de la structure, a déterminé les grandes lignes et l’opportunité d’une telle rencontre en cette période de sortie de crise. Selon lui, la reconstruction du pays passe par la compréhension d’un certain nombre de choses par la masse. C’est pourquoi, a-t-il apprécié, « ce sera une occasion pour les Ivoiriens de s’adresser à des ministres et responsables des secteurs stratégiques du pays pour avoir des éclaircissements ». Le thème de la première rencontre est : « Mine, énergie et pétrole, la nouvelle vision de la Côte d’Ivoire ». Adama Toungara, ministre des Mines et Energies, en sera le premier invité. Il sera accompagné des directeurs généraux de la Société ivoirienne de raffinage (Sir), de la Société nationale d’opérations pétrolières de Côte d’Ivoire (Petroci), de celui de la Société multinationale de bitumes (Smbci) et de la Société de gestion des stocks pétroliers (Gestoci). « Nous échangerons sur le coût du carburant, du gaz, du pétrole lampant utilisé dans nos villages. Aborder ces sujets, c’est soulever les problèmes du coût du transport et celui des denrées alimentaires de grande consommation », a extrapolé le directeur général du Nouveau Réveil sur le choix d’un tel thème, au moment où les débats tournent autour de la réconciliation nationale. Un partenariat avec la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti) permettra de faire un large écho des discussions à travers sa diffusion, 24 heures après les entretiens. Six mois plus tard, une autre personnalité se prêtera au jeu, même si le président du Gepci prévoit un possible réaménagement du calendrier (une fréquence) en fonction du succès de cette première expérience.
Sanou A.
Offrir une plate-forme incontournable d’échanges autour des grandes questions de développement et de reconstruction du pays. C’est l’objectif du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), qui lancera une tribune de débats à partir du 28 juillet prochain, à l’espace Cristal à Marcory. Au cours d’une conférence de presse, hier, au siège de l’association des patrons de presse à Adjamé, Dénis Kah Zion, président de la structure, a déterminé les grandes lignes et l’opportunité d’une telle rencontre en cette période de sortie de crise. Selon lui, la reconstruction du pays passe par la compréhension d’un certain nombre de choses par la masse. C’est pourquoi, a-t-il apprécié, « ce sera une occasion pour les Ivoiriens de s’adresser à des ministres et responsables des secteurs stratégiques du pays pour avoir des éclaircissements ». Le thème de la première rencontre est : « Mine, énergie et pétrole, la nouvelle vision de la Côte d’Ivoire ». Adama Toungara, ministre des Mines et Energies, en sera le premier invité. Il sera accompagné des directeurs généraux de la Société ivoirienne de raffinage (Sir), de la Société nationale d’opérations pétrolières de Côte d’Ivoire (Petroci), de celui de la Société multinationale de bitumes (Smbci) et de la Société de gestion des stocks pétroliers (Gestoci). « Nous échangerons sur le coût du carburant, du gaz, du pétrole lampant utilisé dans nos villages. Aborder ces sujets, c’est soulever les problèmes du coût du transport et celui des denrées alimentaires de grande consommation », a extrapolé le directeur général du Nouveau Réveil sur le choix d’un tel thème, au moment où les débats tournent autour de la réconciliation nationale. Un partenariat avec la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti) permettra de faire un large écho des discussions à travers sa diffusion, 24 heures après les entretiens. Six mois plus tard, une autre personnalité se prêtera au jeu, même si le président du Gepci prévoit un possible réaménagement du calendrier (une fréquence) en fonction du succès de cette première expérience.
Sanou A.
