Ils ne portent pas de lunettes opaques. Ils sont tout simplement habités par la mauvaise foi.
Les relais du Front Populaire Ivoirien ont cru bon de porter un jugement sur les cent jours de
l’après Gbagbo, marqué par l’avènement du Président Alassane Ouattara, grand vainqueur de la dernière élection présidentielle. Sans surprise, leur réquisitoire est sans appel : « Bilan
zéro », pour le nouveau pouvoir ivoirien. Le procès relève tellement de l’émotion que la
conclusion était déjà toute faite. Cependant, au prisme de la réalité, en totale déphasage
d’avec les a-priori et les jugements de valeur de nos amis socialistes, il va sans dire qu’ « il
n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir ». 100 jours après la chute de Gbagbo,
l’enfer qui a duré une décennie, fait place au temps de l’espoir, qui annonce une moisson sûre et certaine. En la matière, les arguments ne manquent pas. Les Ivoiriens ont repris le travail et plus personne ne s’intéresse au despote en détention à Korhogo. De plus, la Côte d’Ivoire est devenue un pays fréquentable, qui reçoit beaucoup de personnalités. Les investisseurs sont de retour et l’économie désormais reluisante. Au plan social, les ordures qui régnaient sous Gbagbo, ont disparu pour faire place à un environnement sain. Les routes sont en pleine réfection, en attendant un vaste programme de bitumage dans les prochains mois. Tout le monde, mis à part « les négateurs des évidences » voit les changements profonds, qui montrent la rupture avec la mauvaise gouvernance Gbagbo. C’est sans doute ce qui effraie nos camarades de la refondation. ADO et son gouvernement ont fait en quelques petits mois, ce que Gbagbo et ses amis n’ont pas réussi en dix ans de pouvoir. Les mutations sont tellement rapides que les frontistes ont perdu leur latin, au point de donner dans les subjectivités blessées et l’émotion mal contenue. Nonobstant leurs discours et autres professions de foi, les Ivoiriens qui ne sont pas dupes, se rendent bien compte qu’un nouveau vent de travail, de développement et de prospérité souffle sur le pays. Et que la nation est en de bonnes mains, pour des lendemains qui chantent.
Les relais du Front Populaire Ivoirien ont cru bon de porter un jugement sur les cent jours de
l’après Gbagbo, marqué par l’avènement du Président Alassane Ouattara, grand vainqueur de la dernière élection présidentielle. Sans surprise, leur réquisitoire est sans appel : « Bilan
zéro », pour le nouveau pouvoir ivoirien. Le procès relève tellement de l’émotion que la
conclusion était déjà toute faite. Cependant, au prisme de la réalité, en totale déphasage
d’avec les a-priori et les jugements de valeur de nos amis socialistes, il va sans dire qu’ « il
n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir ». 100 jours après la chute de Gbagbo,
l’enfer qui a duré une décennie, fait place au temps de l’espoir, qui annonce une moisson sûre et certaine. En la matière, les arguments ne manquent pas. Les Ivoiriens ont repris le travail et plus personne ne s’intéresse au despote en détention à Korhogo. De plus, la Côte d’Ivoire est devenue un pays fréquentable, qui reçoit beaucoup de personnalités. Les investisseurs sont de retour et l’économie désormais reluisante. Au plan social, les ordures qui régnaient sous Gbagbo, ont disparu pour faire place à un environnement sain. Les routes sont en pleine réfection, en attendant un vaste programme de bitumage dans les prochains mois. Tout le monde, mis à part « les négateurs des évidences » voit les changements profonds, qui montrent la rupture avec la mauvaise gouvernance Gbagbo. C’est sans doute ce qui effraie nos camarades de la refondation. ADO et son gouvernement ont fait en quelques petits mois, ce que Gbagbo et ses amis n’ont pas réussi en dix ans de pouvoir. Les mutations sont tellement rapides que les frontistes ont perdu leur latin, au point de donner dans les subjectivités blessées et l’émotion mal contenue. Nonobstant leurs discours et autres professions de foi, les Ivoiriens qui ne sont pas dupes, se rendent bien compte qu’un nouveau vent de travail, de développement et de prospérité souffle sur le pays. Et que la nation est en de bonnes mains, pour des lendemains qui chantent.
