Le futur ex-président de football national, Jacques Anouma, est revenu sur son départ programmé de la Maison de verre de Treichville sur RFI.
Pression politique ou décision personnelle, qu’à cela ne tienne. Jacques Anouma ne sera plus à la tête de la Fédération ivoirienne de football(Fif) après les futures élections de cette instance le 10 septembre. Le temps est à la recherche d’un nouvel homme fort pour le football national. Ce qui a certainement motivé sa décision réside dans ses charges africaines et mondiales. En particulier son avenir sportif surtout, l’accusation dont il a été victime à la Fifa dans le cadre de la Coupe du monde 2022. Des détails importants qu’il a étalés à nos confrères de la «Radio mondiale ». Concernant son départ de la Maison de verre de Treichville, il est convaincu que cela n’est lié à aucune pression politique.
De son départ de la FIF
« Non, pas du tout. Ce n’est pas le président Ouattara qui m’a demandé de partir de la Fif. C’est l’amalgame que font les gens. J’ai rencontré le président Ouattara dans le cadre des fonctions que j’ai occupées à la présidence de la République pendant dix ans. On n’a donc pas parlé de football. Et puis, ceux qui me connaissent savent que j’avais décidé de partir depuis deux ans. Lui et moi, on a parlé de profession. On ne me reçoit pas seulement parce que je suis président de la FIF, j’ai quand même occupé des fonctions qui font que les plus hautes autorités du pays me reçoivent. On a discuté de ce que je ferai après la présidence, sur le plan sportif, je reste dans l’arène au plan international ».
De l’accusation à la FIFA
« Je n’avais pas d’inquiétude à ce niveau. Je n’ai pas été surpris que l’accusatrice ait fait marche arrière. Je ne sais pas d’où est venue cette accusation qui a provoqué tout cela. Le plus important, c’est que devant ma famille, mes amis, le peuple ivoirien, j’ai été blanchi ».
De sa candidature à la Caf
« C’est encore trop tôt pour moi d’en parler. Ce n’est pas ma tasse de thé en ce moment précis. Et puis, je ne sais pas encore si le président Hayatou n’est pas candidat. En tout cas, pour le moment je n’y pense pas ». Une chose est certaine, la décision d’Anouma de ne plus diriger le football national continue de faire des vagues.
Tibet Kipré
Pression politique ou décision personnelle, qu’à cela ne tienne. Jacques Anouma ne sera plus à la tête de la Fédération ivoirienne de football(Fif) après les futures élections de cette instance le 10 septembre. Le temps est à la recherche d’un nouvel homme fort pour le football national. Ce qui a certainement motivé sa décision réside dans ses charges africaines et mondiales. En particulier son avenir sportif surtout, l’accusation dont il a été victime à la Fifa dans le cadre de la Coupe du monde 2022. Des détails importants qu’il a étalés à nos confrères de la «Radio mondiale ». Concernant son départ de la Maison de verre de Treichville, il est convaincu que cela n’est lié à aucune pression politique.
De son départ de la FIF
« Non, pas du tout. Ce n’est pas le président Ouattara qui m’a demandé de partir de la Fif. C’est l’amalgame que font les gens. J’ai rencontré le président Ouattara dans le cadre des fonctions que j’ai occupées à la présidence de la République pendant dix ans. On n’a donc pas parlé de football. Et puis, ceux qui me connaissent savent que j’avais décidé de partir depuis deux ans. Lui et moi, on a parlé de profession. On ne me reçoit pas seulement parce que je suis président de la FIF, j’ai quand même occupé des fonctions qui font que les plus hautes autorités du pays me reçoivent. On a discuté de ce que je ferai après la présidence, sur le plan sportif, je reste dans l’arène au plan international ».
De l’accusation à la FIFA
« Je n’avais pas d’inquiétude à ce niveau. Je n’ai pas été surpris que l’accusatrice ait fait marche arrière. Je ne sais pas d’où est venue cette accusation qui a provoqué tout cela. Le plus important, c’est que devant ma famille, mes amis, le peuple ivoirien, j’ai été blanchi ».
De sa candidature à la Caf
« C’est encore trop tôt pour moi d’en parler. Ce n’est pas ma tasse de thé en ce moment précis. Et puis, je ne sais pas encore si le président Hayatou n’est pas candidat. En tout cas, pour le moment je n’y pense pas ». Une chose est certaine, la décision d’Anouma de ne plus diriger le football national continue de faire des vagues.
Tibet Kipré