Lakiss Ibrahim souhaite une paix durable pour la relève de l’économie ivoirienne
Lakiss Ibrahim, opérateur économique évoluant dans l’industrie du bois, est de retour dans la cité royale de la paix. Ce libanais né à Abengourou, avait momentanément abandonné sa terre natale, pour des raisons d’insécurité. Rencontré au sein de la nouvelle société d’exploitation forestière de l’Indenié (NSEFI), société qui a vu le jour en 2010, l’homme n’a pas hésité à énumérer les dégâts subis lors de la crise postélectorale, tant à Abengourou qu’Abidjan. «Quand j’étais à Abidjan, les gens sont venus chez moi et on tiré dans mes pieds. Mais, je pense que, ce sont des brebis galeuses des FRCI qui voulaient prendre mes deux véhicules et je me suis opposé. Ici à Abengourou, j’ai beaucoup perdu. Dans mon usine, les pertes matérielles s’évaluent à 200 millions de FCFA. Chez moi, à la maison 12 millions en espèce et 42 millions de biens matériels, dont des montres en diamant, des voitures et du matériel industriel». Malgré ces pertes, celui qui se targue de n’avoir aucune couleur politique, a pu remettre sur les rails, le fonctionnement de son industrie. Pour un environnement sécurisé des affaires, cet industriel souhaite vivement le retour total à la normalité pour une paix durable. Il exhorte le chef de l’Etat SEM Alassane Ouattara à tout mettre en œuvre afin que, cela soit une réalité : «Il faut que la paix revienne et qu’on puisse remettre nos entreprises en marche ; il faudrait que le Président de la République veille à cela, car, lorsque les entreprise marchent, ce sont de nombreuses familles qui arrivent à vivre», a recommandé Lakiss Ibrahim.
Ernest Famin, correspondant régional
Lakiss Ibrahim, opérateur économique évoluant dans l’industrie du bois, est de retour dans la cité royale de la paix. Ce libanais né à Abengourou, avait momentanément abandonné sa terre natale, pour des raisons d’insécurité. Rencontré au sein de la nouvelle société d’exploitation forestière de l’Indenié (NSEFI), société qui a vu le jour en 2010, l’homme n’a pas hésité à énumérer les dégâts subis lors de la crise postélectorale, tant à Abengourou qu’Abidjan. «Quand j’étais à Abidjan, les gens sont venus chez moi et on tiré dans mes pieds. Mais, je pense que, ce sont des brebis galeuses des FRCI qui voulaient prendre mes deux véhicules et je me suis opposé. Ici à Abengourou, j’ai beaucoup perdu. Dans mon usine, les pertes matérielles s’évaluent à 200 millions de FCFA. Chez moi, à la maison 12 millions en espèce et 42 millions de biens matériels, dont des montres en diamant, des voitures et du matériel industriel». Malgré ces pertes, celui qui se targue de n’avoir aucune couleur politique, a pu remettre sur les rails, le fonctionnement de son industrie. Pour un environnement sécurisé des affaires, cet industriel souhaite vivement le retour total à la normalité pour une paix durable. Il exhorte le chef de l’Etat SEM Alassane Ouattara à tout mettre en œuvre afin que, cela soit une réalité : «Il faut que la paix revienne et qu’on puisse remettre nos entreprises en marche ; il faudrait que le Président de la République veille à cela, car, lorsque les entreprise marchent, ce sont de nombreuses familles qui arrivent à vivre», a recommandé Lakiss Ibrahim.
Ernest Famin, correspondant régional
