Après la non-candidature de Jacques Anouma, ses probables successeurs ne manquent pas d’idées pour gagner les élections.
Un candidat à la présidence de la Fédération ivoirienne de football (FIF), fera parler de lui, d’ici peu. En tout cas, si les informations en notre possession sont avérées, l’Assemblée générale de la FIF prévue le 10 septembre 2011, est comprise. Mieux, la Commission électorale de la FIF, pilotée par le Pr Alain Ekra ne recevra pas de listes de candidatures au soir du 30 juillet 2011. Et pour cause, un candidat aurait fait main basse sur les groupements d’intérêts de football dont a besoin toute liste, pour le parrainage de sa candidature. Selon les statuts de la FIF relatifs aux conditions d’éligibilité (article 41, alinéa c), pour être candidat à la présidence de la FIF, il faut se présenter avec sa liste de membre du comité exécutif par un collectif d’au moins huit membres actifs de la FIF, à savoir, trois clubs évoluant en D1, deux clubs évoluant en D2, deux clubs évoluant en D3 et un groupement d’intérêts de football. Le candidat qui se présente comme un « tsunami », sachant qu’il y a 14 clubs en D1, 24 en D2 et 38 en D3, a mis son dévolu sur les groupements d’intérêts de football qui sont au nombre de cinq. Il aurait donc, convaincu les principaux responsables de ces structures à soutenir sa candidature. Ainsi, l’Association des entraîneurs de Côte d’Ivoire, pilotée par Kaé Oulaï, l’Association des footballeurs ivoiriens (AFI) de Cyril Domoraud, l’Amicale des arbitres de Côte d’Ivoire aux mains de Nahi Léonard, l’Association des médecins de football, dirigée par le Pr Dah Cyrille et l’Association des joueurs en activité, managée par le retraité Koné Ibrahim dit «Sôgômansandji», seraient toutes aux côtés de ce candidat, dont le nom est tenu secret. En optant pour cette stratégie, l’homme est sûr d’être le seul candidat en lice, à la date butoir du 30 juillet 2011. Parce qu’avance notre source, il a déjà ses dossiers au complet et il n’attend que le jour-j, pour les déposer. «Nous allons dénoncer ce fait, si cela est vrai. C’est d’ailleurs impossible ! Il faut un seul parrainage d’un groupement d’intérêts», croit bien Anzouan Kacou Albert, candidat déclaré, qui n’a pas encore déposé sa liste. «Mais où est le problème, si tous les groupements d’intérêts soutiennent un seul candidat et refusent d’aller avec les autres ? C’est bien possible ! Et cela signifie que les clubs ont tort de dire que c’est à eux seuls de décider ou de choisir le président de la FIF», rétorque notre source. Qui est ce candidat ? Ce mystérieux candidat qui prend en otage la FIF et peut empêcher les autres d’être candidats ? Il sera candidat unique ou bien les autres ne seront pas candidats ! Le mystère reste entier et la course à la présidence de la FIF n’a pas fini de livrer ses surprises. A la date butoir du 30 juillet, chacun sera situé.
Annoncia Sehoué
Un candidat à la présidence de la Fédération ivoirienne de football (FIF), fera parler de lui, d’ici peu. En tout cas, si les informations en notre possession sont avérées, l’Assemblée générale de la FIF prévue le 10 septembre 2011, est comprise. Mieux, la Commission électorale de la FIF, pilotée par le Pr Alain Ekra ne recevra pas de listes de candidatures au soir du 30 juillet 2011. Et pour cause, un candidat aurait fait main basse sur les groupements d’intérêts de football dont a besoin toute liste, pour le parrainage de sa candidature. Selon les statuts de la FIF relatifs aux conditions d’éligibilité (article 41, alinéa c), pour être candidat à la présidence de la FIF, il faut se présenter avec sa liste de membre du comité exécutif par un collectif d’au moins huit membres actifs de la FIF, à savoir, trois clubs évoluant en D1, deux clubs évoluant en D2, deux clubs évoluant en D3 et un groupement d’intérêts de football. Le candidat qui se présente comme un « tsunami », sachant qu’il y a 14 clubs en D1, 24 en D2 et 38 en D3, a mis son dévolu sur les groupements d’intérêts de football qui sont au nombre de cinq. Il aurait donc, convaincu les principaux responsables de ces structures à soutenir sa candidature. Ainsi, l’Association des entraîneurs de Côte d’Ivoire, pilotée par Kaé Oulaï, l’Association des footballeurs ivoiriens (AFI) de Cyril Domoraud, l’Amicale des arbitres de Côte d’Ivoire aux mains de Nahi Léonard, l’Association des médecins de football, dirigée par le Pr Dah Cyrille et l’Association des joueurs en activité, managée par le retraité Koné Ibrahim dit «Sôgômansandji», seraient toutes aux côtés de ce candidat, dont le nom est tenu secret. En optant pour cette stratégie, l’homme est sûr d’être le seul candidat en lice, à la date butoir du 30 juillet 2011. Parce qu’avance notre source, il a déjà ses dossiers au complet et il n’attend que le jour-j, pour les déposer. «Nous allons dénoncer ce fait, si cela est vrai. C’est d’ailleurs impossible ! Il faut un seul parrainage d’un groupement d’intérêts», croit bien Anzouan Kacou Albert, candidat déclaré, qui n’a pas encore déposé sa liste. «Mais où est le problème, si tous les groupements d’intérêts soutiennent un seul candidat et refusent d’aller avec les autres ? C’est bien possible ! Et cela signifie que les clubs ont tort de dire que c’est à eux seuls de décider ou de choisir le président de la FIF», rétorque notre source. Qui est ce candidat ? Ce mystérieux candidat qui prend en otage la FIF et peut empêcher les autres d’être candidats ? Il sera candidat unique ou bien les autres ne seront pas candidats ! Le mystère reste entier et la course à la présidence de la FIF n’a pas fini de livrer ses surprises. A la date butoir du 30 juillet, chacun sera situé.
Annoncia Sehoué
