Un système de suivi du travail des enfants conforme à la Convention 182 de l’Organisation internationale du travail sera élaboré pour lutter efficacement contre les pires formes de travail des enfants en Côte d’Ivoire, a annoncé mercredi à Grand-Bassam le représentant-résident du Bureau international du travail (BIT), M. Benjamin Ben Lakp Low.
Lors de l’ouverture d’un atelier sur "l’état des lieux et harmonisation du système de suivi du travail des enfants", à N’Sahôtel de Grand-Bassam, M. Low a relevé que la Convention182 de l’OIT doit constituer l’une des priorités des Etats signataires dont la Côte d’Ivoire en matière de lutte contre les pires formes de travail des enfants.
En Côte d’Ivoire, selon le BIT, environ 1,5 million d’enfants de 5 à 17 ans sont impliqués dans les activités économiques.
Le système de suivi du travail des enfants (SSTE) est à ce jour le principal mécanisme que propose le BIT pour l’identification précise des enfants en situation de travail, fait savoir le premier responsable de l’organisation internationale du travail en Côte d’Ivoire.
Selon M. Lakp Low, ce système prend en compte la protection et la prévention de l’exploitation de ces enfants grâce à la vérification des lieux de travail et des types de travaux qui y sont exercés, la gestion et l’analyse régulière des données relatives aux enfants travailleurs, le suivi des enfants retirés du travail précoce ainsi que l’évaluation des actions menées à leur profit.
Pour être véritablement efficace, le système doit s’étendre à tous les secteurs potentiels d’emplois, a indiqué le représentant du BIT, ajoutant que celui-ci vise à la vérification et au contrôle de la qualité des informations recueillies sur le travail des enfants pour une meilleure analyse et une meilleure diffusion.
L’atelier de Grand-Bassam qui s’achève vendredi, est organisé par le Service autonome de la lutte contre le travail des enfants, en collaboration avec le BIT et le Secrétariat exécutif du système de suivi du travail des enfants.
Son objectif est de contribuer à l’éradication de la traite et des pires formes de travail des enfants en Côte d’Ivoire, à travers le système de suivi du travail des enfants ayant un caractère global et conforme aux dispositifs de la Convention 182 de l’OIT, rappelle-t-on.
(AIP)
Bz/kp
Lors de l’ouverture d’un atelier sur "l’état des lieux et harmonisation du système de suivi du travail des enfants", à N’Sahôtel de Grand-Bassam, M. Low a relevé que la Convention182 de l’OIT doit constituer l’une des priorités des Etats signataires dont la Côte d’Ivoire en matière de lutte contre les pires formes de travail des enfants.
En Côte d’Ivoire, selon le BIT, environ 1,5 million d’enfants de 5 à 17 ans sont impliqués dans les activités économiques.
Le système de suivi du travail des enfants (SSTE) est à ce jour le principal mécanisme que propose le BIT pour l’identification précise des enfants en situation de travail, fait savoir le premier responsable de l’organisation internationale du travail en Côte d’Ivoire.
Selon M. Lakp Low, ce système prend en compte la protection et la prévention de l’exploitation de ces enfants grâce à la vérification des lieux de travail et des types de travaux qui y sont exercés, la gestion et l’analyse régulière des données relatives aux enfants travailleurs, le suivi des enfants retirés du travail précoce ainsi que l’évaluation des actions menées à leur profit.
Pour être véritablement efficace, le système doit s’étendre à tous les secteurs potentiels d’emplois, a indiqué le représentant du BIT, ajoutant que celui-ci vise à la vérification et au contrôle de la qualité des informations recueillies sur le travail des enfants pour une meilleure analyse et une meilleure diffusion.
L’atelier de Grand-Bassam qui s’achève vendredi, est organisé par le Service autonome de la lutte contre le travail des enfants, en collaboration avec le BIT et le Secrétariat exécutif du système de suivi du travail des enfants.
Son objectif est de contribuer à l’éradication de la traite et des pires formes de travail des enfants en Côte d’Ivoire, à travers le système de suivi du travail des enfants ayant un caractère global et conforme aux dispositifs de la Convention 182 de l’OIT, rappelle-t-on.
(AIP)
Bz/kp