L’organisation non gouvernementale Mouvement pour la paix et la cohésion sociale en Côte d’Ivoire (MPCS-CI) a organisé mercredi à Bouaflé, une journée ville propre afin de lutter contre l’insalubrité et assainir la commune.
Cette journée vise également à faire la promotion de la paix et de la cohésion entre jeunes issus d’ethnies, de confessions religieuses et de partis politiques différents.
Selon le président du MPCS-CI, Bamba Amadou, les jeunes doivent être des des ambassadeurs qui prônent la bonne santé, l’entente et la paix au sein de leur différentes familles.
S'adressant aux jeunes volontaires, le préfet Alliali Kouadio a salué leur initiative. Il a par ailleurs fustigé la guerre qui est « le massacre des jeunes gens qui s’affrontent sans se connaître, dans le but de satisfaire des hommes qui se connaissent sans s’affronter ».
D’autres actions à court terme sont prévues par l'ONG, notamment le dépistage volontaire du VIH/Sida et la mobilisation des chefs traditionnels en vue de prôner la paix à leurs sujets. Créé en 2011, le MPCS-CI oeuvre pour le renforcement de la paix et la cohésion sociale entre les fils et filles de la région de la Marahoué.
(AIP)
Cette journée vise également à faire la promotion de la paix et de la cohésion entre jeunes issus d’ethnies, de confessions religieuses et de partis politiques différents.
Selon le président du MPCS-CI, Bamba Amadou, les jeunes doivent être des des ambassadeurs qui prônent la bonne santé, l’entente et la paix au sein de leur différentes familles.
S'adressant aux jeunes volontaires, le préfet Alliali Kouadio a salué leur initiative. Il a par ailleurs fustigé la guerre qui est « le massacre des jeunes gens qui s’affrontent sans se connaître, dans le but de satisfaire des hommes qui se connaissent sans s’affronter ».
D’autres actions à court terme sont prévues par l'ONG, notamment le dépistage volontaire du VIH/Sida et la mobilisation des chefs traditionnels en vue de prôner la paix à leurs sujets. Créé en 2011, le MPCS-CI oeuvre pour le renforcement de la paix et la cohésion sociale entre les fils et filles de la région de la Marahoué.
(AIP)