L’Administrateur principal pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique Centrale de la Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique (Acbf en anglais) était récemment à Abidjan, où, il a effectué une mission de supervision des progrès enregistrés par la Cellule d’Analyse de Politiques Economiques du Cires (Capec). Durant trois jours, M. Claude Sinzogan a échangé avec les bénéficiaires de la Cellule, des difficultés éventuelles auxquelles ils font face dans l’exécution du Projet. Etait également à l’ordre du jour, la finalisation des observations relatives au rapport provisoire de la revue à mi-parcours. Cette mission qui a pris fin le 23 juillet dernier, lui a permis de se rendre compte de la pertinence et de la qualité des résultats obtenus. A l’issue de cette mission, l’Administrateur s’est entretenu avec la presse au siège de la Capec, sis à Cocody. M. Claude Sinzogan, a indiqué que le projet Capec a des raisons de poursuivre sa mission. «La Capec a un avenir prometteur parce que c’est une structure qui a fait ses preuves. Depuis plus de 15 ans maintenant, elle a contribué au développement des réflexions sur la politique en Côte d’Ivoire. Il faut noter que les demandes en analyse de politiques économiques, les réflexions et les recommandations de politique économique sont toujours là. Particulièrement dans cette période de reconstruction nationale, où la Capec pourrait apporter sa contribution en mettant à la disposition des agents économiques et de l’Etat en particulier, des études de bonne facture, des recommandations de politique économique qui doivent s’adapter à la situation de reprise économique», a-t-il affirmé. Rappelant les travaux de la revue à mi-parcours, L’Administrateur de l’ACBF a indiqué : «L’évaluation est en cours. Elle n’est pas encore finalisée, mais je peux vous dire que le Projet se trouve sur une bonne voie. Le renforcement des capacités en matière de politiques économiques se poursuit, se porte bien et se fait de manière méthodique et satisfaisante par les chercheurs de la Capec. Il y a eu des difficultés indépendantes de la volonté du Projet mais qui ne l’ont pas empêché de fonctionner». Pour ce qui est des missions de la Capec dans cette période post-crise, il a rassuré qu’elles resteront inchangées. «Ce sont des missions de renforcement des Capacités en matière d’analyse de politiques économiques parce que peu de gens savent formuler des analyses de politique économique et des politiques de développement. La Capec est donc là pour renforcer tous les secteurs économiques et sociaux du pays, en matière de bonne gouvernance. Elle devra surtout, adapter ses activités aux réalités actuelles, en apportant des solutions aux difficultés courantes».
Faut-il le rappeler, la Cellule d’Analyse de Politiques Economiques du Cires (Capec), créée en 1992, est financée principalement par la Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique (Acbf) et l’Etat de Côte d’Ivoire. Elle a pour mission de produire pour le compte de l’administration ivoirienne, du secteur privé et de la société civile, des travaux scientifiques destinés à éclairer la politique économique et les stratégies. Elle se veut un cadre national de réflexion, de recherche, d’information et de conseil.
B.M.
Faut-il le rappeler, la Cellule d’Analyse de Politiques Economiques du Cires (Capec), créée en 1992, est financée principalement par la Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique (Acbf) et l’Etat de Côte d’Ivoire. Elle a pour mission de produire pour le compte de l’administration ivoirienne, du secteur privé et de la société civile, des travaux scientifiques destinés à éclairer la politique économique et les stratégies. Elle se veut un cadre national de réflexion, de recherche, d’information et de conseil.
B.M.