Il a été écroué jeudi à la gendarmerie d’Agban pour escroquerie. Elie Hallassou qui se dit victime d’un coup tordu de l’un de ses compatriotes, entrepreneur, s’est confié à nous. Ci-dessous, sa version des faits que nous avons recueillie hier dimanche.
«Je suis effectivement mis sous mandat de dépôt et placé en détention au camp de gendarmerie d’Agban. Mais contrairement à ce qui a été dit dans la presse vendredi, je n’ai extorqué de fonds ni escroqué personne. C’est bien mon compatriote Mohamed Maola qui me doit deux cent soixante millions, qui curieusement porte plainte contre moi et reste quant à lui en liberté. En effet, Maola, entrepreneur à Koumassi et spécialiste dans la confection de matériel militaire avait eu un marché avec le Centre de Commandement Intégré (CCI), il y a deux ans de cela. Pour débuter les travaux, il m’a emprunté de l’argent, à taux majoré. Jusqu’à mon arrestation, il n’a pas payé un seul sou, quand bien même, il a signé une reconnaissance de dette et émis une dizaine de chèques sans provision. Sur des comptes clôturés. Alors que j’attends la suite de la plainte, contre lui, il porte plainte prétextant avoir signé les reconnaissances de dette sous menace. Toutes les preuves de dette sont disponibles».
I.D
«Je suis effectivement mis sous mandat de dépôt et placé en détention au camp de gendarmerie d’Agban. Mais contrairement à ce qui a été dit dans la presse vendredi, je n’ai extorqué de fonds ni escroqué personne. C’est bien mon compatriote Mohamed Maola qui me doit deux cent soixante millions, qui curieusement porte plainte contre moi et reste quant à lui en liberté. En effet, Maola, entrepreneur à Koumassi et spécialiste dans la confection de matériel militaire avait eu un marché avec le Centre de Commandement Intégré (CCI), il y a deux ans de cela. Pour débuter les travaux, il m’a emprunté de l’argent, à taux majoré. Jusqu’à mon arrestation, il n’a pas payé un seul sou, quand bien même, il a signé une reconnaissance de dette et émis une dizaine de chèques sans provision. Sur des comptes clôturés. Alors que j’attends la suite de la plainte, contre lui, il porte plainte prétextant avoir signé les reconnaissances de dette sous menace. Toutes les preuves de dette sont disponibles».
I.D