l Depuis que Abékan est venu chercher Florence, avez-vous de ses nouvelles ?
A dire vrai, je n’ai aucune nouvelle de ma fille Florence.
l Comment expliquez-vous cela ?
Je suis au village sans grand moyen. Ensuite avec la crise, les choses se sont compliquées pour moi. Je suis totalement démuni. Et je n’ai même pas le minimum nécessaire pour effectuer le voyage. Vous savez, la vie est très difficile ici au village. J’aurais pu le joindre au téléphone de temps à temps, mais j’ai perdu le téléphone portable où se trouvait son numéro. Nous lui présentons toutes nos excuses pour notre silence. Nous lui demandons pardon. Cela n’est pas dû à un désintérêt, mais à un manque de moyens. Nous ferons tout pour venir le rencontrer à Abidjan pour lui dire merci de vive voix.
l Quand Florence partait, croyiez-vous en sa guérison ?
Je ne pensais pas que les choses pouvaient évoluer favorablement. Dieu merci, elle commence à se retrouver. Par la volonté de l’abbé Abékan à qui je suis reconnaissant.
l Quelle est votre réaction après avoir vu les images de Florence dans le journal ?
Je suis très réjoui. Dieu seul sait combien de fois la joie se manifeste en moi. Merci à Dieu et à tous ceux qui m’aident pour la guérison de ma fille.
l Quel est le message que vous avez pour Abékan ?
Les mots me manquent. Merci à Abékan qui fait pieds et mains pour sortir Florence de sa situation.
Alain Kpapo
A dire vrai, je n’ai aucune nouvelle de ma fille Florence.
l Comment expliquez-vous cela ?
Je suis au village sans grand moyen. Ensuite avec la crise, les choses se sont compliquées pour moi. Je suis totalement démuni. Et je n’ai même pas le minimum nécessaire pour effectuer le voyage. Vous savez, la vie est très difficile ici au village. J’aurais pu le joindre au téléphone de temps à temps, mais j’ai perdu le téléphone portable où se trouvait son numéro. Nous lui présentons toutes nos excuses pour notre silence. Nous lui demandons pardon. Cela n’est pas dû à un désintérêt, mais à un manque de moyens. Nous ferons tout pour venir le rencontrer à Abidjan pour lui dire merci de vive voix.
l Quand Florence partait, croyiez-vous en sa guérison ?
Je ne pensais pas que les choses pouvaient évoluer favorablement. Dieu merci, elle commence à se retrouver. Par la volonté de l’abbé Abékan à qui je suis reconnaissant.
l Quelle est votre réaction après avoir vu les images de Florence dans le journal ?
Je suis très réjoui. Dieu seul sait combien de fois la joie se manifeste en moi. Merci à Dieu et à tous ceux qui m’aident pour la guérison de ma fille.
l Quel est le message que vous avez pour Abékan ?
Les mots me manquent. Merci à Abékan qui fait pieds et mains pour sortir Florence de sa situation.
Alain Kpapo