l Quelle relation existait-il entre Florence et vous ?
J’ai de très bonnes relations avec ma fille. Bien que je ne sois plus mariée avec son père. Elle faisait régulièrement la navette entre Krogbopa et Ouragahio pour venir me voir. Souvent, elle se faisait accompagner de son petit-frère Arnold. Quand elle a eu son mal, je me suis déplacée pour aller la voir au village.
l Comment avez-vous ressenti le malheur qui lui est arrivé ?
Il y a toujours une relation d’amour qui lie une mère à sa fille. Je ne pouvais pas rester les bras croisés. J’ai donc envoyé ma fille dans le village de Nékédi pour lui apporter des soins traditionnels. Mais elle ne voulait pas suivre le traitement qu’on lui proposait. C’est ainsi qu’elle est rentrée à Krogbopa.
l Qu’est-ce que cela vous fait de voir l’état de votre fille s’améliorer ?
Je suis impressionnée par le changement qui est en train de s’opérer en elle. Elle n’était pas ainsi lorsqu’elle se rendait à Abidjan avec Abékan. Je dis merci à tous ceux qui ont contribué au changement physique de Florence. En même temps que je suis heureuse, je suis également peinée de ne pas pouvoir me rendre à son chevet.
l Et pourquoi ?
C’est parce que je n’ai pas de pièces administratives, et puis je manque d’argent pour me déplacer.
l Avez-vous un message pour Abékan ?
Je n’ai que des mots de remerciement pour Abékan. C’est grâce à lui que ma fille retrouve aujourd’hui la joie de vivre. Que Dieu le bénisse.
l Un message pour Florence ?
Je lui demande de respecter à la lettre toutes les instructions du père Abékan et qu’elle suive la parole de Dieu.
Alain Kpapo
J’ai de très bonnes relations avec ma fille. Bien que je ne sois plus mariée avec son père. Elle faisait régulièrement la navette entre Krogbopa et Ouragahio pour venir me voir. Souvent, elle se faisait accompagner de son petit-frère Arnold. Quand elle a eu son mal, je me suis déplacée pour aller la voir au village.
l Comment avez-vous ressenti le malheur qui lui est arrivé ?
Il y a toujours une relation d’amour qui lie une mère à sa fille. Je ne pouvais pas rester les bras croisés. J’ai donc envoyé ma fille dans le village de Nékédi pour lui apporter des soins traditionnels. Mais elle ne voulait pas suivre le traitement qu’on lui proposait. C’est ainsi qu’elle est rentrée à Krogbopa.
l Qu’est-ce que cela vous fait de voir l’état de votre fille s’améliorer ?
Je suis impressionnée par le changement qui est en train de s’opérer en elle. Elle n’était pas ainsi lorsqu’elle se rendait à Abidjan avec Abékan. Je dis merci à tous ceux qui ont contribué au changement physique de Florence. En même temps que je suis heureuse, je suis également peinée de ne pas pouvoir me rendre à son chevet.
l Et pourquoi ?
C’est parce que je n’ai pas de pièces administratives, et puis je manque d’argent pour me déplacer.
l Avez-vous un message pour Abékan ?
Je n’ai que des mots de remerciement pour Abékan. C’est grâce à lui que ma fille retrouve aujourd’hui la joie de vivre. Que Dieu le bénisse.
l Un message pour Florence ?
Je lui demande de respecter à la lettre toutes les instructions du père Abékan et qu’elle suive la parole de Dieu.
Alain Kpapo
