Plusieurs recommandations ont sanctionné un séminaire sur la validation de la vision stratégique du ministère de la Culture et de la Francophonie qui s’est tenue, le vendredi 5 août 2011, au Centre culturel Bernard Blin Dadié de Treichville. Entre autres l’élaboration des décrets d’application de la loi 87-806 du 28 juillet 1987, la réalisation systématique de l’inventaire général du patrimoine, la création dans les 19 régions du pays de structures de conservation et de promotion du patrimoine culturel. A cette liste de projets s’ajoutent, l’octroi de bourses de formation aux professionnels, la participation aux levées de fonds des institutions africaines de formation et de financement de la culture, ainsi que la promotion des professionnels de l’action culturelle.
Pour le séminaire, il faut travailler au respect de la mise en œuvre de toutes les conventions ratifiées par la Côte d’Ivoire dans le domaine patrimonial, à la mise en place de fonds suffisant pour mener à bien les actions en faveur du patrimoine et à la prise en compte du volet diffusion. Il a recommandé en outre la prise en compte d’un programme de réhabilitation et de construction d’infrastructures culturelles et leurs équipements, tout en insistant sur la systématisation des études statistiques et économiques ; mais aussi sur les enquêtes concernant les besoins et la consommation de produits culturels par les Ivoiriens.
Au plan du financement de la culture de la coopération et du partenariat, un accent a été mis sur la matrice du plan sectoriel.
D’autres stratégies ont été identifiées lors des assisses, notamment l’identification des sources et des mécanismes de financement et la prise en compte du partenariat public privé. La signature et la mise en œuvre d’accords de coopération bilatérale et multilatérale.
Selon le ministère de la Culture, ce séminaire s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique sectorielle du ministère de la Culture. Il avait pour objectifs spécifiques de planifier le développement culturel de la Côte d’Ivoire pour la période 2011-2015 et de réaliser un document final participatif et consensuel.
Lors de la cérémonie d’ouverture, Maurice Kouakou Bandaman invitait les participants à s’interroger sur la capacité de la culture à impacter durablement et positivement la nation ivoirienne en termes de changement de mentalité, de management et de projection. Le ministre de la Culture rappelait également les maux qui minent le secteur de la culture avant de proposer l’élaboration de sa vision : valoriser économiquement le patrimoine, industrialiser les arts et «infrastructures » l’ensemble du territoire national pour faire de la Côte d’Ivoire un grand pays de culture.
Quant à Dembélé Fousseni, directeur scientifique du séminaire, il soulignait l’importance d’une vision dans toute entreprise.
Schadé Adédé schadeci@yahoo.fr
Pour le séminaire, il faut travailler au respect de la mise en œuvre de toutes les conventions ratifiées par la Côte d’Ivoire dans le domaine patrimonial, à la mise en place de fonds suffisant pour mener à bien les actions en faveur du patrimoine et à la prise en compte du volet diffusion. Il a recommandé en outre la prise en compte d’un programme de réhabilitation et de construction d’infrastructures culturelles et leurs équipements, tout en insistant sur la systématisation des études statistiques et économiques ; mais aussi sur les enquêtes concernant les besoins et la consommation de produits culturels par les Ivoiriens.
Au plan du financement de la culture de la coopération et du partenariat, un accent a été mis sur la matrice du plan sectoriel.
D’autres stratégies ont été identifiées lors des assisses, notamment l’identification des sources et des mécanismes de financement et la prise en compte du partenariat public privé. La signature et la mise en œuvre d’accords de coopération bilatérale et multilatérale.
Selon le ministère de la Culture, ce séminaire s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique sectorielle du ministère de la Culture. Il avait pour objectifs spécifiques de planifier le développement culturel de la Côte d’Ivoire pour la période 2011-2015 et de réaliser un document final participatif et consensuel.
Lors de la cérémonie d’ouverture, Maurice Kouakou Bandaman invitait les participants à s’interroger sur la capacité de la culture à impacter durablement et positivement la nation ivoirienne en termes de changement de mentalité, de management et de projection. Le ministre de la Culture rappelait également les maux qui minent le secteur de la culture avant de proposer l’élaboration de sa vision : valoriser économiquement le patrimoine, industrialiser les arts et «infrastructures » l’ensemble du territoire national pour faire de la Côte d’Ivoire un grand pays de culture.
Quant à Dembélé Fousseni, directeur scientifique du séminaire, il soulignait l’importance d’une vision dans toute entreprise.
Schadé Adédé schadeci@yahoo.fr
