Un sommet devant réunir mardi au Nigeria cinq pays de la Communauté économique des Etats de l`Afrique de l`Ouest (Cédéao) et consacré aux questions de la sécurité à la frontière entre la Côte d`Ivoire et le Liberia, a été reporté à septembre, a-t-on appris auprès de la Cédéao.
"Le sommet, initialement prévu mardi à Abuja, a été reporté au mois prochain mais aucune date n`a été fixée", a déclaré à l`AFP Sunny Ugoh, un porte-parole de la Cédéao, qui regroupe 15 pays. Il n`a avancé aucune raison à ce report.
L`annonce de ce sommet faisait suite à l`annonce d`importantes saisies d`armes dans le sud et le sud-est du Liberia, notamment des roquettes, des mitrailleuses, des fusils d`assaut Kalachnikov et leurs munitions, près de la frontière avec la Côte d`Ivoire.
Mi-juin, la police libérienne avait déjà découvert d`importants stocks d`armes et de munitions dans le district d`U`gbo Barro (comté de Rivergee).
Selon elle, ces armes avaient été envoyées au Liberia après la crise postélectorale en Côte d`Ivoire (de novembre 2010 à avril 2011) marquée par des violences dans lesquelles des Libériens sont accusés d`avoir participé comme mercenaires.
La Côte d`Ivoire sort progressivement de la crise née du refus du président Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010 et qui a fait au moins 3.000 morts.
"Le sommet, initialement prévu mardi à Abuja, a été reporté au mois prochain mais aucune date n`a été fixée", a déclaré à l`AFP Sunny Ugoh, un porte-parole de la Cédéao, qui regroupe 15 pays. Il n`a avancé aucune raison à ce report.
L`annonce de ce sommet faisait suite à l`annonce d`importantes saisies d`armes dans le sud et le sud-est du Liberia, notamment des roquettes, des mitrailleuses, des fusils d`assaut Kalachnikov et leurs munitions, près de la frontière avec la Côte d`Ivoire.
Mi-juin, la police libérienne avait déjà découvert d`importants stocks d`armes et de munitions dans le district d`U`gbo Barro (comté de Rivergee).
Selon elle, ces armes avaient été envoyées au Liberia après la crise postélectorale en Côte d`Ivoire (de novembre 2010 à avril 2011) marquée par des violences dans lesquelles des Libériens sont accusés d`avoir participé comme mercenaires.
La Côte d`Ivoire sort progressivement de la crise née du refus du président Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010 et qui a fait au moins 3.000 morts.